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Le vite degli altri - La vie des autres - The lives of others - Das Leben anderer Menschen - Las vidas de otras personas
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Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
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I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
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Le petit commerce va mal !


Udaipur (Inde) - Depuis trois jours, je passais tous les matins devant cette dame et sa minuscule boutique pas très bien achalandée. La veille j’avais réalisé qu’elle était pratiquement aveugle, alors que je lui achetais une Moix de coco. En fait, j’ai eu pitié de cette pauvre femme car je n’avais que faire de cette noix de coco que j’ai donné à un enfant quelques minutes plus tard.
Quand j’ai pris cette photo, elle ne s’est rendu compte de rien. Pourtant, je ne cherchais aucunement à me dissimuler.
Sur la petite semaine passée à Udaipur, je suis souvent passé plusieurs fois par jour devant cette échoppe qui se trouvait à une centaine de mètres de mon hôtel sur la route du lac. Je ne l’ai jamais vu vendre quoi que ce soit hormis la noix de coco. Certes, je n’étais pas là toute la journée à l’observer. Mais je pense que les affaires n’étaient pas très florissantes.
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Quand j’ai pris cette photo, elle ne s’est rendu compte de rien. Pourtant, je ne cherchais aucunement à me dissimuler.
Sur la petite semaine passée à Udaipur, je suis souvent passé plusieurs fois par jour devant cette échoppe qui se trouvait à une centaine de mètres de mon hôtel sur la route du lac. Je ne l’ai jamais vu vendre quoi que ce soit hormis la noix de coco. Certes, je n’étais pas là toute la journée à l’observer. Mais je pense que les affaires n’étaient pas très florissantes.
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Une pauvreté d'une énorme dignité personnelle
C'est quoi, l'objet coloré et illuminé, la bas, Jen-luc?
Jean-luc Drouin club has replied to J.Garcia clubJ.Garcia club has replied to Jean-luc Drouin clubUn grand merci, Jean-luc
une méditation involontaire doit être son quotidien. Elle est belle.
Nice work as always!
(c'est une "private joke" ! souvenir d'une phrase d'un livre d'école d'avant 14, l'héroine allait chez une marchande de Saint-Quentin, qui se plaignait de son manque de chalands, cette phrase je l'ai entendu dire par ma mère des dizaines de fois, et mois j'en ai repris l'habitude)
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