La dure vie des cyclo-pousses
Le muscle comme outil de travail
Chaud devant !
Feuilles de Bétel aux enchères
Photo légende
La misère du monde dans le regard
Avec vue sur la rue
Les lavandières d'Udaipur
Le saut de l'ange... A l'indienne
Salon de rue
Le petit commerce va mal !
Chien perché !
Cuisine de rue
Le bidonville de la Kharbuza
Marche ou crève !
Les enfants des chiffonniers
Atelier de récupération
Service de santé de proximité
L'écurie du bidonville
Jour de fête
Enfants du bidonville
La starlette de La Kharbuza
Double portrait
Epicerie flottante
La vie est un long fleuve tranquille
Peuple du fleuve
Le pêcheur et l'épervier
Serre cambodgienne
Condamnation des gérants du bar rouennais "Le Cuba…
Plat du jour
Pause déjeuner
Portrait de rue
Cérémonie Bouddhiste
Livraison expresse
Le jeune moine et la grotte sacrée
cuisine aménagée... sur un sol en terre
Briqueterie artisanale
Commerce de proximité
On ne bouge plus…
Gueule de bois
Fin de journée sur les salines de Kampot
A moi la liberté !
Marché à Kompong-Thom
D'une rive à l'autre
Un combat perdu d'avance
1/100 • f/5.0 • 17.0 mm • ISO 200 •
NIKON CORPORATION NIKON D300
AF-S DX Zoom-Nikkor 17-55mm f/2.8G IF-ED
EXIF - See more detailsSee also...
Vos photos de choc sans discrimination / Tus fotos de choque indiscriminado
Vos photos de choc sans discrimination / Tus fotos de choque indiscriminado
Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
Fotografia callejera. Street photography. Photographie de rue
Fotografia callejera. Street photography. Photographie de rue
: Affiches, affichettes, pancartes et écriteaux.... Posters, banners and signs.
: Affiches, affichettes, pancartes et écriteaux.... Posters, banners and signs.
I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
Keywords
Authorizations, license
-
Visible by: Everyone -
All rights reserved
-
670 visits
Embouteillage


Agra (Inde) - J’inaugure aujourd’hui une nouvelle série sur les indiens au travail. Une série un peu particulière car elle a été réalisée en quelques heures dans un rayon de deux cents mètres. Unité de lieu, unité d’action.
Il y a des jours où l’on ne fait qu’une ou deux photos correctes, voire pas du tout. En revanche, parfois, on tombe sans l’avoir cherché sur des scènes qui s’offrent à vous. Des scènes évidentes où tout est là. Cadeau ! C’est ce qui s’est passé ce jour là vers le fort d’Agra, ville où l’on vient habituellement pour visiter le Taj Mahal..
Bien entendu, j’étais dans cette ville afin de retrouver pour la seconde fois de ma vie, le célèbre mausolée. Pour faire plaisir à ma femme qui ne l’avait jamais vu, alors que nous en étions à notre douzième voyage en Inde. Le lendemain du passage obligé au Taj, nous nous sommes partis à la recherche du grand marché local dans le quartier du fort rouge, situé à dix bonnes minutes en rickshaw du célèbre monument.
Ne pouvant plus circuler, le chauffeur nous a déposé à quelques rues du marché. Nous étions au beau milieu d’une opération de livraisons à l’indienne dans une rue où se trouvent les hangars de stockage. C’est ici que les marchandises arrivent des tous les coins de l’Inde. Certaines resteront ici, d’autre repartiront vers d’autres régions du pays. L’anarchie fonctionnelle indienne dans toute sa splendeur.
Quand je suis descendu du rickshaw je n’ai eu qu’à braquer mon appareil photo pour saisir l’ambiance étourdissante et bruyante.
J’ai une affection particulière pour cette photo malgré quelques imperfections. Imperfections qui à mon avis contribuent à la restitution de la folie qui régnait dans cette rue.
Les deux hommes en haut du cadre à gauche, entrent dans la photo, alors que celui qui a un sac sur la tête -sur le bord-droite du cadre- va en sortir. Le sac est certes coupé, mais ce qui habituellement pourrait passer pour une erreur de composition, ne me gène aucunement. Je trouve qu’au contraire, cette « coupe » apporte une certaine dynamique dans l’image et une information : Il est déjà parti !
Quant au « chauffeur » du cyclo-pousse chargé comme un mulet (qui manque peut-être un peu d’air en bas de la photo) et le manutentionnaire, situés au au centre, ils apparaissent comme le sujet principal, tout en participant à la diagonale formée avec les personnages secondaires de l’arrière plan.
L’ensemble correspond à cette folie qui caractérise ce pays et qui le rend si attachant.
Translate into English
Il y a des jours où l’on ne fait qu’une ou deux photos correctes, voire pas du tout. En revanche, parfois, on tombe sans l’avoir cherché sur des scènes qui s’offrent à vous. Des scènes évidentes où tout est là. Cadeau ! C’est ce qui s’est passé ce jour là vers le fort d’Agra, ville où l’on vient habituellement pour visiter le Taj Mahal..
Bien entendu, j’étais dans cette ville afin de retrouver pour la seconde fois de ma vie, le célèbre mausolée. Pour faire plaisir à ma femme qui ne l’avait jamais vu, alors que nous en étions à notre douzième voyage en Inde. Le lendemain du passage obligé au Taj, nous nous sommes partis à la recherche du grand marché local dans le quartier du fort rouge, situé à dix bonnes minutes en rickshaw du célèbre monument.
Ne pouvant plus circuler, le chauffeur nous a déposé à quelques rues du marché. Nous étions au beau milieu d’une opération de livraisons à l’indienne dans une rue où se trouvent les hangars de stockage. C’est ici que les marchandises arrivent des tous les coins de l’Inde. Certaines resteront ici, d’autre repartiront vers d’autres régions du pays. L’anarchie fonctionnelle indienne dans toute sa splendeur.
Quand je suis descendu du rickshaw je n’ai eu qu’à braquer mon appareil photo pour saisir l’ambiance étourdissante et bruyante.
J’ai une affection particulière pour cette photo malgré quelques imperfections. Imperfections qui à mon avis contribuent à la restitution de la folie qui régnait dans cette rue.
Les deux hommes en haut du cadre à gauche, entrent dans la photo, alors que celui qui a un sac sur la tête -sur le bord-droite du cadre- va en sortir. Le sac est certes coupé, mais ce qui habituellement pourrait passer pour une erreur de composition, ne me gène aucunement. Je trouve qu’au contraire, cette « coupe » apporte une certaine dynamique dans l’image et une information : Il est déjà parti !
Quant au « chauffeur » du cyclo-pousse chargé comme un mulet (qui manque peut-être un peu d’air en bas de la photo) et le manutentionnaire, situés au au centre, ils apparaissent comme le sujet principal, tout en participant à la diagonale formée avec les personnages secondaires de l’arrière plan.
L’ensemble correspond à cette folie qui caractérise ce pays et qui le rend si attachant.
Tanja - Loughcrew, Cämmerer zu Nau, , Ch'an and 63 other people have particularly liked this photo
- Keyboard shortcuts:
Jump to top
RSS feed- Latest comments - Subscribe to the comment feeds of this photo
- ipernity © 2007-2025
- Help & Contact
|
Club news
|
About ipernity
|
History |
ipernity Club & Prices |
Guide of good conduct
Donate | Group guidelines | Privacy policy | Terms of use | Statutes | In memoria -
Facebook
Twitter
Admired in:
www.ipernity.com/group/tolerance
belle foto realiste!
Happy new week:)
Superbement montrée et commentée, Jean-luc
Jean-luc Drouin club has replied to Nautilus clubMais c'est aussi l'un des payas où il y a le plus de pauvres dans les rues. Les invisibles. La plus grande Démocratie du monde est aussi l'un des pays les plus injustes en raison de la persistance des castes. Même si ces dernières ont été abolies. Vas comprendre Charles !
A superb series.
du mouvement
de la vie harassante et bruyante...
un chef-d'oeuvre !
Sign-in to write a comment.