Roland Platteau's articles with the keyword: vie

  • les choses qu'on croit être

    - 19 Jun 2017
    « Etre jeune c’est peut-être cela : croire que le monde est fait de choses inséparables. » (in "Indochine" de Régis Wargnier) Pourquoi on ne vit plus comme on vivait - on-vi-vait - à Bailleul ? quand on était inquiets parce que papa ne revenait pas à l'heure de l'eglise parce qu'il y avait eu une fuite d'eau à la sacristie et qu'il avait du batailler toute la soirée, quand on le voyait passer sur la chaussée tirant la baladeuse à bras avec laquelle il emportait le matér…

  • notre histoire se perd dans le silence

    - 31 Dec 2013
    un très grand poète étatsunien : Edgar Lee Masters

  • pense-t-on ?

    - 30 Jun 2015
    Pense-t-on parfois, il le faudrait ! – à toute cette civilisation, maintenant disparue des chemins de fer, ces milliers de kilomètres (dizaines de milliers de kilomètres) de voies de chemin de fer à travers l’Europe pendant un siècle (1880-1980) ces milliers de kilomètres de talus couverts de robiniers, d’autres milliers de coquelicots en fleurs (sans herbicide…), ces kilomètres de couloirs, de trains, où on pouvait fumer, baisser la vitre et regarder au dehors, discuter, ces milliers et ces mil…

  • mais qui n'est pas sans odeur

    - 20 May 2013
    "L’empathie, c’est une notion désignant l’aptitude à ressentir les sentiments et les émotions d’un autre être vivant, la faculté de s’identifier à quelqu’un et a ressentir ce qu’il ressent, prendre conscience de ses désirs, de ses joies, et en particulier de sa souffrance et de sa détresse. Sentiment bien plus fort que les opinions et les différences, et permet d’entrer dans les perceptions de l’autres de sentir sa peur, de vivre sa vie et de s’y mouvoir avec délicatesse sans émettre d…

  • a dormir una noche en el campo

    - 19 Feb 2010
    Juana de Ibarbourou, poétesse Uruguayenne du début du siècle :

  • la maison

    - 24 Dec 2010
    nuit et brouillard
    Voilà, Quand j’habitais rue Noël T******, je passais bien sûr d’abord dans la rue Saint-M***** sur laquelle elle donne. Une rue très bourgeoise. Et au n°5 il y avait une vieille grande maison bourgeoise comme ça, sauf qu’elle était complètement à l’abandon. Aussi quelle ne fut pas ma surprise de voir

  • « Avec le soir, descendent les grands sentiments. Ils entrent dans l’âme comme les loups dans les villes. C’est la faim que l’on a, quivous tient tout le long du jour et qui vous serre un peu plus dans ces heures-là. » (Christian BOBIN)

    - 21 Nov 2013
    Voici quelque unes, en fait les dernières en date tout simplement, des citations que j'ai rencontrées et trouvées particulièrement importantes, pour une raison ou une autre. "J'ai toujours aimé, je ne sais pourquoi, les exclamations inattendues. A vrai dire elles coulent en vous continuellement, mais on a pas le temps de les noter (pas de papier sous la main), et elles meurent. Impossible ensuite de s'en souvenir. J'ai donc quand même réussi à en fixer quelques-unes sur le papier! " (Vassili Rozanov) (Moi aussi. ! ma note) Normal ! « Il est des êtres que l'on a envie de protéger, des corps que l'on veut serrer fort jusqu'à les étouffer tant on tient à eux » ("Maitrepo" blogeur sur Internet) "LA VIE EST UN THEATRE TROP LANGUISSANT. IL MANQUE DE REGIE. CEUX QUI DOIVENT Y MOURIR D'AMOUR, QUAND ILS Y ARRIVENT, C'EST PENIBLEMENT ET DANS LEUR VIEILLESSE" (Jean Giraudoŭx) “Demokratio” signifas obeadon al ordonoj el Vaŝingtono kaj allason, ke usonaj firmaoj ekspluatu la landon." (Trevor Steele) "If we don't believe in freedom of expression for people we despise, we don't believe in it at all." (Noam Chomsky) «La maniero kontraŭbatali ideon estas lanĉi al gi pli bonan ideon. » (Monteiro Lobato) « Le bonheur, c'est comme un chat, si vous essayez de le cajoler, il vous fuit, si vous ne vous occupez pas de lui, il vient se frotter contre vos jambes et saute sur vos genoŭ. » (Davies Robertson) "Il est plus facile de croire un mensonge qu'on a déjà entendu cent fois, qu'une vérité qu'on n'a encore jamais entendue" - Robert Lynd A.Einstein : "Le monde ne sera pas détruit par ceŭ qui font le mal, mais par ceŭ qui les regardent sans rien faire." "Dans la souffrance (morale), la tristesse, la nostalgie, on atteint plus la vérité, en général, que dans le bonheur ; dans le bonheur on est souvent futile, et souvent dans un monde de carton-pâte, le monde de la douleur creuse plus profondément et se nourrit de choses essentielles, et est plus conscient, et plus sensible que le bonheur. C’est la source inépuisable de la vérité, et des valeurs. Et aussi du respect d ‘autrui ; le bonheur piétine autrui. La douleur est plus sérieuse et plus authentique. Les moments de tristesse, les vagues de nostalgie, les éclairs d’horreur, sont souvent les seuls moments de valeur humaine." (RP) ailleurs aussi on trouve de si de si belles phrases la suite :

  • Le souvenir des deux chiens de Coat Forest me déchire toujours le coeur

    - 13 Jul 2012
    Souvenir extrait de ma randonnée équestre en Bretagne (péninsule de Crozon, Finistère) en avril 1987)

  • Un des mes poèmes en prose

    - 29 Oct 2013
    Alia afero, kiun mi povos fari per tiu blogo estas meti miajn poemojn (sed ili estas franclingvaj ! krom tri) Je crois que je vais commencer de mettre ici mes poèmes. Pour commencer, un poème en prose, paru en 2005 dans l'anthologie de l'association "Flammes Vives". Jam kvin jaroj.

  • Vous souvenez-vous d'Elian Finbert ? ĉu iu memoras ?

    - 13 Feb 2018
    Kiu memoras pri Elian Finbert ? http://eo.wikipedia.org/wiki/Elian-J._Finbert Ĉi sube post la franclingva prezento vi trovos rakonton de lia unua porĉiame stampa sperto kun bestoj. Oui, qui se souvient de ses émissions à la radio et de ses chronique sur la revue "La Vie des Bêtes" où il racontait de si captivantes, curieuses et émouvantes "plus belles histoires de bêtes"?

  • tous uniques tous tragiques

    - 04 Feb 2014
    Je garde toujours dans plusieurs poches de vêtements de ces silexs que je ramassais sur les chemins de terre du Ternois quand je m’y promenais avec Jacqueline…. , et dont les taches blanches sur fond noir évoquaient si bien des vues de galaxies