FRANCE
Chemin de Bibracte à Alésia, voie Romaine
|
|
|
|
Nikkor AF S 28mm 1:1.8 G
Des hauteurs de Bibracte jusqu’à l'oppidum d'Alésia, ce sentier de 120 km traverse les moments forts de l’histoire gauloise. Le tracé se veut le plus fidèle possible à la réalité historique et à l’itinéraire emprunté par Vercingétorix et ses troupes.
Claviers
|
|
|
|
Collioure
Collioure
Corbeil-Essonnes.
|
|
|
|
Dijon, Maison Maillard, Hôtel Aubriot
|
|
|
|
Dijon, Place du Bareuzai
|
|
|
|
Elle n'existait pas au Moyen Âge : c'est entre 1904-1905 que des maisons ont été rasées pour ouvrir la place. Le sculpteur François Rude est né à proximité, d’où le nom de ce lieu. La statue Le Vendangeur trône sur la fontaine centrale depuis 1904, elle est l'œuvre de Noël-Jules Girard. Elle représente un vigneron foulant le raisin dans une cuve. C'est à ce personnage que la place doit d'être couramment appelée place du bareuzai1 ou bareuzei2. Par ce mot, les Bourguignons désignent une personne chargée de fouler le raisin. En effet lorsqu'elle ressortait de la cuve, elle se reconnaissait à ses jambes teintes en rose : le « bas rosé ».
Source: fr.wikipedia.org/wiki/Place_François-Rude
Dijon, Place du Bareuzai, Attente
|
|
|
|
Dijon, rue des Forges.
Dijon, Église Notre Dame, Portail
|
|
Dijon, Église Notre Dame.
|
|
|
|
L’église Notre-Dame de Dijon, considérée comme un chef-d'œuvre d'architecture gothique du xIIIe siècle, est située au cœur des 97 hectares du secteur sauvegardé de Dijon, inscrit depuis le 4 juillet 2015 au patrimoine mondial de l'UNESCO1. Elle s'élève place Notre-Dame, à proximité du Palais des ducs et des États de Bourgogne et en face de la rue Musette. On estime que l'édifice actuel a été construit des années 1229 aux années 1250 environ. Cette église abrite la statue de Notre-Dame de Bon-Espoir, auparavant appelée Vierge noire. Elle s'orne aussi de deux symboles de la ville de Dijon : le Jacquemart et la chouette. L'église a été classée au titre des monuments historiques par la liste de 1840. La chapelle de l'Assomption, la sacristie et la galerie les reliant à l'église sont inscrits au titre des monuments historiques depuis le 5 juillet 20022.
++++++++ENGLISH
The Church of Notre-Dame of Dijon is a Roman Catholic church in Dijon. Considered a masterpiece of 13th-century Gothic architecture, it is situated at the heart of the preserved old centre of the city. It is in Place Notre-Dame, near the Palace of the Dukes of Burgundy and opposite the rue Musette.
Work on the church began around 1230.[1] The church contains the statue of Notre-Dame de Bon-Espoir, formerly called the Black Madonna. The church's decorations also include two symbols of Dijon: the jacquemart (bell-striking automaton) and the owl. The church was classified as a Monument Historique in the List of historic monuments of 1840. The chapel of the Assumption, the sacristy, and the gallery that links them have been listed as Monuments Historiques since 5 July 2002.
Source: fr.wikipedia.org/wiki/Église_Notre-Dame_de_Dijon
CLICK ABOVE TO SEE NOTE
Dijon, Église Notre Dame...
Dun les Places, Monument des Fusillés
|
|
|
|
Nikkor AF S micro 60mm 1:2.8 G ED
Dun-les-Places est un des villages martyrs de la Libération de 1944.
C’est le 26 juin 1944 que le village, 806 habitants dont 120 dans le bourg proprement dit, verra débuter un martyre qui le fera surnommer L'Oradour du Morvan.
Le 24 juin, les villages de Montsauche et Planchez étaient détruits par les allemands. Le 26 en fin d’après-midi, un groupe de membres de la Gestapo et de miliciens arrive dans le village. Dix-huit hommes sont interpellés et conduits devant l'église pour un soi-disant « contrôle de papiers ». Ils seront rejoints par le curé du village. Vers 20 h un nouveau groupe arrive et installe un canon dans le clocher afin de créer une provocation en tirant à blanc sur les troupes qui arrivent. Les hommes sont interrogés dans l'hôtel voisin sur la présence de Maquis dans la région, ils ne diront rien malgré la proximité des Maquis Camille et Bernard. Les femmes et les enfants restés dans leurs maisons sont terrorisés.
À 22 h, alors que l'électricité est coupée et que l'orage se déchaine, éclatent des coups de feu et de canon dans tout le village puis le silence revient. Les allemands brisent les portes et les vitres et envahissent les maisons en poussant des cris. Ils s'y installent vidant les caves du vin et de toute la nourriture qu'ils peuvent y trouver.
Le 27 juin, le village est systématiquement pillé. Les allemands entassent dans leurs camions linge, literie et objets de valeur après avoir abattu porcs, moutons et volaille.
Le 28 juin au matin, les allemands se préparent à partir. À l'aide de lance-flammes, de grenades incendiaires et de bûches, ils mettent le feu aux maisons. À 12 h 30 après avoir fait sonner les cloches, ils partent en chantant et en jouant de l'accordéon. Les survivants découvrent alors l'horreur : les corps des otages sont allongés déchiquetés sous le porche de l'église, celui du curé, partiellement dévêtu, est découvert dans le clocher. D'autres corps sont sur les routes ou dans les hameaux voisins. Le massacre aura fait en tout 27 victimes. Les obsèques seront célébrées le 1er juillet.
fr.wikipedia.org/wiki/Dun-les-Places
Dun les Places, Monument des Fusillés
|
|
|
|
Nikkor AF S micro 60mm 1:2.8 G ED
Dun-les-Places est un des villages martyrs de la Libération de 1944.
C’est le 26 juin 1944 que le village, 806 habitants dont 120 dans le bourg proprement dit, verra débuter un martyre qui le fera surnommer L'Oradour du Morvan.
Le 24 juin, les villages de Montsauche et Planchez étaient détruits par les allemands. Le 26 en fin d’après-midi, un groupe de membres de la Gestapo et de miliciens arrive dans le village. Dix-huit hommes sont interpellés et conduits devant l'église pour un soi-disant « contrôle de papiers ». Ils seront rejoints par le curé du village. Vers 20 h un nouveau groupe arrive et installe un canon dans le clocher afin de créer une provocation en tirant à blanc sur les troupes qui arrivent. Les hommes sont interrogés dans l'hôtel voisin sur la présence de Maquis dans la région, ils ne diront rien malgré la proximité des Maquis Camille et Bernard. Les femmes et les enfants restés dans leurs maisons sont terrorisés.
À 22 h, alors que l'électricité est coupée et que l'orage se déchaine, éclatent des coups de feu et de canon dans tout le village puis le silence revient. Les allemands brisent les portes et les vitres et envahissent les maisons en poussant des cris. Ils s'y installent vidant les caves du vin et de toute la nourriture qu'ils peuvent y trouver.
Le 27 juin, le village est systématiquement pillé. Les allemands entassent dans leurs camions linge, literie et objets de valeur après avoir abattu porcs, moutons et volaille.
Le 28 juin au matin, les allemands se préparent à partir. À l'aide de lance-flammes, de grenades incendiaires et de bûches, ils mettent le feu aux maisons. À 12 h 30 après avoir fait sonner les cloches, ils partent en chantant et en jouant de l'accordéon. Les survivants découvrent alors l'horreur : les corps des otages sont allongés déchiquetés sous le porche de l'église, celui du curé, partiellement dévêtu, est découvert dans le clocher. D'autres corps sont sur les routes ou dans les hameaux voisins. Le massacre aura fait en tout 27 victimes. Les obsèques seront célébrées le 1er juillet.
fr.wikipedia.org/wiki/Dun-les-Places
Etang Fortier (Chailloux)
Etang Fortier (Chailloux)
Etang Seguin
Forêt de Breuil
Jump to top
RSS feed- Latest items - Subscribe to the latest items added to this album
- ipernity © 2007-2024
- Help & Contact
|
Club news
|
About ipernity
|
History |
ipernity Club & Prices |
Guide of good conduct
Donate | Group guidelines | Privacy policy | Terms of use | Statutes | In memoria -
Facebook
Twitter