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TRAVERSE,

TITRE un rien équivoque pour ce qui ne sera qu'un JEU DO MI ... NI CAL MA PROPOSITION n'est autre qu'honnête et mise à diposition de quiconque a l'oreille assez fine et un peu de vOcabulaire pour entendre le SON "O" Allons donc de telle façon que, chacun(e) pour soi, puisse écrire l'homophone de son choix de ce SON "O"

une rubrique intitulée : RUE BRIQUE à BRAQUES mais compte tenu du peu d'audience ces derniers jours et du sérieux dont vous avez apporté la preuve en vous abstenant de tout commentaire à propos de l'O... je me braque et PLUT O que de vous envoyer des briques dans la poire... je pars avec mon COOKIE pro mener et serai désormais insaisissable comme LE cas CHALOT...du Docteur CHARCOT, l'aliéniste .

NE MANQUE PAS DE CHAPEAUX." J'ai un faible - si c'est le seul, il me sera pardonné aisément ! - pour les têtes à chapeaux et une aversion avérée pour celles et pour ceux qui se prennent facilement la grosse tête et vous regardent de très haut comme si vous étiez une immondice... Hier encore, je me suis fait interpeler par un quidam qui se croyant sorti de la cuisse de JUPITER car il conduisait un super 4 X 4 de marque allemande, m'a traité de voyou : j'avais eu l'outrecuidance de prendre une priorité à droite, en ville, au volant de ma TWINGO ... En dépit de l'envie qui me tenaillait de lui répondre "vertement" - mes engagements sont connus de mes fréquentations - j'ai simplement souri et l'ai gratifié d'un mouvement de la main, à la manière du paysan qui tire son chapeau avec déférence... Le personnage en question a failli en faire une crise de nerfs...Et s'est vengé en déclenchant son avertisseur à deux tons.

La simple attention bienveillante que chacun(e) SE porte - nécessité narcissique première - a ses prolongements corollaires dans le soin qu'il apporte à re-connaître l'autre dans ce qu'il/elle a de meilleur... D'où la nécessité d'abandonner dans les contacts virtuels de ce lieu d'échanges d'images et de points de vue nécessairement différents, les habitudes nocives de cancaner sur l'un(e) ou sur l'autre, sans avoir simplement pris la peine de lui demander de s'expliquer précisément sur ce qu'on n'a pas compris ou interprété de façon négative... Auberge espagnole ce lieu ou chacun(e) apporte au jour de son choix, sans qu'il/elle se sente obligé(e) ce qu'il/elle croit pouvoir donner sans crainte d'être jugé. La vie est éphémère ne la gâtons pas. Trop d'exemples en ce monde de ce qui ne va pas , pour nous polluer encore un peu plus les relations...

auriez-vous oublié le principal sujet : VOUS-MÊME ??????

ODOR*, ODORIFèRE, ODORANT(E), ODORITé, ODORISEUR, ODORISATEUR(TRICE), ODORISATION, ODORIMéTRIE, ODORIGèNE, ODORIFéRANT (ANTE), ODORER, ODORATION, ODORATIF (VE). Vous qui avez du flair, du pif, du tarin, de l'intelligence en somme : si, si, ne faites pas vos modestes...: Vous l'avez déjà démontré ! Quel est le mot intrus glissé dans cette liste C'est diman…

Claude CHABROL, un de plus, de ces grands bien vivants, qui nous quitte ! Il y a quelques jours à peine, il nous avait posé un lapin, à CAVAILLON. Seules étaient là sa compagne Stéphane AUDRAN, l'une de ses comédiennes fétiches Bernadette LAFONT. On le savait malade, car ce n'était pas dans ses habitudes de manquer un rendez-vous avec son public, il aimait trop ...les gens, les choses,les blagues,les bons repas ! En dépit de son regard acéré et de ses propos parfois caustiques, il était un souriant bienveillant... Son héritage est fabuleux...Il demeure à jamais, un témoin essentiel de nos générations d'avant !

La question ne s'est même pas posée entre le modèle et son "photo-félibre". Le rendez-vous était fixé, l'espace d'une matinée, en un espace déterminé, où la confiance était de mise, la nudité permise : BéLéZY, à BéDOIN. Et le soleil en prime, sur les pentes du VENTOUX, que les deux protagonistes avaient déjà escaladé sur leurs montures italiennes. Chacun pour soi, ils ne le savaient même pas , les deux vies étant parallèles. Pour une séquence limitée, sécantes ... "Il n' y a pas de hasard, il n' ya que des rendez-vous..." écrivait Paul ELUARD. Ce fut une fête ! En prélude à un autre rendez-vous où son convié(e)s tou(te)s celles, tous ceux qui ont pour les femmes ou pour l'eau ...des affinités particulières ! Cet avis tient lieu d'invitation, il n' y en aura pas d'autre, pour la gent ipernitycienne ! Qu'on se le dise entre initié(E)s de nos RéSEAUX ! .

Au risque de me répéter , la pratique quotidienne des Arts du TAO ne peut pas "NUIRE GRAVEMENT A LA SANTé ! Une heure de retour sur soiE, permet en effet de se libérer des contraintes perçues comme telles par la plupart, dans son environnement ! Respirer, se détendre, rire au risque évident de déranger les non initiés, puis tirer de soi tous les bénéfices du sourire intérieur, permet ensuite de rayonner - de crayonner pourquoi pas ? - voici ce qui peut donner à chacun(E) les moyens d'attaquer du bon pied sa journée ..

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avant de vous servir... lisez ces quelques maximes, glanées sur les emballages de mes papillottes ... Le Papy, papivore également pap-ilion* de la roche sur IONS... * ou papi LION rugissant ILION du haut de la cuisse de JUPE A TERRE, bien avide AMANT

Venez quand même faire un tour sur mon nouveau site... Et invitez vos ami(e)s et relations à faire de même. Vous serez de la sorte en situation de "faire un buzz" comme on dit dans les médias Et, pour le moment, mes images sont toujours gratuites !... Sachez en profiter : En mars , je communiquerai mes prix... d'ami(e)s !

René CHAR & ZAO WU KI Effilage du sac de jute. Préface d'un certain D.de V. Poésie/ Gallimard

Qui a prénommé l'enfant qui vient au monde des vivants sait-elle (il plus rarement, encore moins il ET elle) quel élan ou quel frein ce choix constituera pour toute une vie ? Combien se seront contentés de vouloir rendre honneur à un parent dans la lignée, en ignorant délibérément le contexte dans lequel celui-ci aura vécu. Combien de Philippe, de Marceau, de Guillaume, de Sylvie, de Claude, de Dominique, seront ainsi porteurs d'un sens jamais vraiment élucidé par une connaissance claire des signifiants accordés ? D'autant que l'enfant venu au monde, ne percevra que la musique du mot, associée à la voix qui le désigne...aux autres voix familières, qui lui confirmeront dans cette première identité. Il ne lui restera que l'enchainement des sons, associé à des visages-miroirs plus ou moins souriants ... Et la traduction qu'il en fera pour lui-même (ce qu'il aura réellement "entendu")... Les actes qui en découleront seront-ils nécessairement fastes pour sa vie future ?

Cette lettre d'amour aurait été adressée à Alfred de MUSSET par George SAND.

"on" se rencontrera, quelque part, n'importe où, guidé par le hasard..."

ce n'est pas un passé en puissance, il est le moment du choix et de l'action." Simone de BEAUVOIR Morale de l'ambigüité

n'est-il que réduire l'autre à l'état d'objet, ou plutôt stimuler l'image qu'il se fait de lui-même, au risque qu'il s'y perde ? Avant de répondre de façon incertaine, j'ai consulté l'avis de "spécialistes" de l'âme humaine et relu des passages des Mémoires de CASANOVA, et des différents DON JUAN... Tragédie, comédie ?... L'avis éclairé aussi de séductrices : George Sand, Anaïs Nin, Colette etc... Il semblerait que les points de vue, souvent contradictoires, se complètent...Et se répondent en miroir ! De l'avantage d'être contraint à l'enfermement pour reprendre les chemins de la lecture...

La compétion est ouverte en ce beau mois de MAI 2012. Des concours vous sont proposés. Quelques pistes, selon vos orientations : couleur ou N & B ?