Krisonteme's photos
Institut L Braille à Marseille
|
|
|
|
Louis Braille, né le 4 janvier 1809 à Coupvray, près de Paris, et mort le 6 janvier 1852, est l'inventeur du système d'écriture tactile à points saillants, à l'usage des personnes aveugles ou fortement malvoyantes : le braille.
Mettre, jour après jour, ................du miel s…
|
|
|
|
Découvrez !
Je serais bien resté:
La maison était bonne.
Le petit chat m'aimait.
Elle s'était mariée,
Puis s'était séparée.
A présent, elle vivait
Retirée, loin des gens, loin du bruit,
De ses quelques amis,
Mais surtout loin des hommes.
Je serais bien resté:
La maison était bonne,
Le petit chat m'aimait.
Déjà, c'était l'automne,
La toiture à revoir
Et le bois à couper.
Elle avait beau me dire de ne pas m'inquiéter,
Je pensais:
C'est un travail d'homme.
De mon côté, j'avais pas mal bourlingué,
Entrevu des amours et fait tous les métiers.
J'en avais plus que marre, je voulais m'arrêter.
J'suis passé par hasard, nous avons bavardé.
Comme c'était le soir et que le froid tombait,
Elle ne m'a pas chassé.
Elle ne m'a même pas demandé mon avis.
Elle m'a ouvert son lit pour y passer la nuit.
Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas fait l'amour.
Combien de temps avant qu'elle le refasse un jour?
Elle s'est servie de moi pour se venger de lui.
Une fois satisfaite, elle m'a chassé du lit.
Je serais bien resté:
La maison était bonne.
Le petit chat m'aimait.
Au matin, elle a fait
Comme si j'étais personne,
Comme si de rien n'était.
Mais, moi, je l'aimais déjà,
J'la voulais toute à moi.
Oui, c'est vrai,
J'voulais être son homme.
J'avais vu des pays, j'pouvais les lui conter.
J'pouvais lui faire l'enfant qu'il ne lui avait pas fait.
J'pouvais remonter l'mur, j'pouvais scier du bois,
J'pouvais travailler dur et pas penser qu'à moi.
Et subir sans mot dire ses multiples morsures,
Mettre, jour après jour, du miel sur ses blessures.
Lui montrer que les hommes c'était pas c'qu'elle croyait,
Qu'un amour de jeunesse, c'est pas fait pour durer,
Qu'elle n'allait pas gâcher le reste de sa vie,
Que tout était à faire, que rien n'était fini,
Qu'dans mes rêves les plus fous, j'la voyais pas si belle,
Que j'comprenais pas tout, mais qu'j'en savais plus qu'elle.
Je serais bien resté:
La maison était bonne.
Le petit chat m'aimait.
Déjà, c'était l'automne,
La toiture à revoir
Et le bois à couper.
Je serais bien resté:
La maison était bonne
Mais seul le petit chat m'aimait.
Et je me dis que ça me plait.......... A l'heure q…
|
|
|
|
Je regarde passer les ruines
Éparpillées sur le rivage
Avant que le jour ne décline
Je nage
Ce rêve me reviens souvent
D'un inévitable naufrage
Dont je serais seul survivant
Je nage
Fou peut-être
Et fier de l'être
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m'y love que je m'y perds
Fou peut-être
Et fier de quoi
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m'y perds et que j'aime ça
C'est l'eau qui va lisser mon front
Et rendre serein mon visage
Les années glissent et glisseront
Je nage
Et je me dis que ça me plait
A l'heure qu'il est et à mon âge
Que la mer a des dents de lait
Je nage
Fou peut-être
Et fier de l'être
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m'y love que je m'y perds
Fou peut-être
Et fier de quoi
Je n'ai suivis que des chimères
Fortune de terre et
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m'y love que je m'y perds
Fou peut être
Et fier de quoi
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m'y perds et que j'aime ça
Silencio !
|
|
|
|
youtu.be/GzPxJ6p6DhQ?si=fpf1o8b97hDTWSzQ
Messieurs ! Assez plaisanté !
Chuuut ! Silencio !
Leçon de peinture : première !
Le noir !
Les bleus ! voilà…
Les verts, s’il vous plaît ?
Plus fort, plus de courage…
Les jaunes, les rouges…
Tous ensemble !
Merci messieurs !
Attention…
Quand je sors de Paris, Capitale poubelle,
Quand je fuis ses affiches qui m’engueulent en couleur,
Quand je laisse ses gris dans mon rétroviseur
Pour chanter quelque part, entre Loire et Moselle,
Je découvre ta face balayée d’hirondelles,
Et je redeviens peintre, et j’oublie le chanteur.
Ah ! Les ciels qui me donnent des leçons de peinture.
T’as des ciels, des tableaux de la Révolution.
Tes nuages crachés par d’énormes canons
Se bagarrent si haut quand on passe en voiture,
Qu’on dirait des navires en conquête d’Azur,
Et floconnent si bas, qu’ils me touchent le front.
Tes chaumières ont tout l’air de sortir d’une Bible
Rédigée par les soins d’un Moïse Normand,
Et tes prés sont d’un vert tellement comestible,
Qu’on s’y rêve cheval pour y paître un instant.
T’as des ciels de Vlamenque, mais d’un bleu qui voyage.
T’as des champs de Van Gogh, mais avec des odeurs.
T’as Monnet pour les eaux, les reflets, les vapeurs,
Et ces jungles fleuries dans les gares de village,
C’est tellement du Rousseau qu’on se dit c’est dommage,
Il y manque un lion souriant dans les fleurs.
Qu’ils me guident du ciel ou qu’ils soient à mes trousses,
Qu’ils soient d’or ou de cuivre, de brume ou de sang,
Ton soleil me révèle, selon l’heure ou le temps,
Des printemps japonais, des automnes de mousse,
Des étés pissenlits, patronnés par Larousse,
Des novembres de pluie, des hivers de diamants.
Et tes boules de gui suspendues dans le vide
Prouvent bien que la Gaule n’a jamais disparu,
Puisqu’elle est encore là, qui te lance un salut,
De ses mille ballons footballés par les druides.
Et pourtant, moi qui prend tes leçons de peinture,
Moi qui chante ta terre à tes propres enfants,
Moi qui, à force d’amour, ait perdu mon accent,
Et te taille en français des quatrains sur mesure,
Comme bien des amants, j’ai aussi ma blessure,
Que je garde secrète, mais qui saigne pourtant.
M’as-tu bien regardé ? J’ai la boucle Berbère.
M’as-tu bien écouté ? J’ai la voix d’un maçon.
C’est dans l’huile d’olive que je cuis mes chansons,
Et je parle des mains, et j’adore ma mère,
Et j’ai tant de pogromes dans mon cœur millénaire,
Que j’hésite parfois à manger du jambon.
Tu commences à comprendre pourquoi je m’inquiète,
Quand je vois le mépris qu’ont parfois tes enfants,
Pour les Noirs, les Arabes, les Juifs, les Gitans
Qui n’ont pas le talent de passer pour poètes.
C’est au nom de tes ciels aux mouvantes peintures,
C’est au nom des concerts que dirigent tes vents,
C’est au nom de ma chance et de tant de tourments
Que je pose à présent ma question, ma blessure :
Est-ce vrai qu’on t’encombre avec notre nature,
A moins qu’on ne l’exprime d’une scène en chantant.
Victoria et Mr Nounours
|
|
|
|
Je veux m'offrir ça
|
|
|
|
youtu.be/PwxoSDWVCa0?si=vpppbJdG1qxzbJ5p
Quand on est pauvre et qu'on n'a rien
On n'a pas même son chagrin
C'est un chagrin sans importance
Sans grandeur et sans élégance
Ma peine a son horaire
Ma peine pointe à l'usine
Elle n'a pas de mystère
Comme dans les magazines
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Je veux pleurer comme une princesse
Je veux pleurer avec noblesse
Pas dans la soupe, mais dans la soie
Je veux pleurer dans un décor
Un chagrin plus grand que ma vie
Un vrai chagrin qui fasse envie
Je veux pleurer comme Liz Taylor
{Refrain}
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Je veux m'offrir ça
Quand on n'en a pas les moyens
On n'profite pas de son chagrin
On n'a pas l'temps d'en faire le tour
Les pommes de terre brûlent dans le four
On n's'y habitue pas
Ça porte sur le foie
C'est d'la peine à deux sous
On n'en sent pas le goût
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Des larmes qu'on prend en photo
Pleurer sans rhume de cerveau
Des larmes qui n'défigurent pas
Je n'veux plus de chagrin à la gomme
De chagrin payable par traites
J'en veux d'un coup jusqu'à la r'traite
Je veux pleurer comme la Bégum
{Au refrain}
Je Veux Pleurer Comme Soraya
J'veux pleurer sans économie
Qu'une fois au moins dans ma vie
Je puisse me dire que je n'compte pas
Je veux pleurer comme pour une fête
Où on fout en l'air ses richesses
Je veux pleurer comme une princesse
Je veux pleurer comme Margaret
Victoria 1 jour La famille s’agrandit
|
|
|
|
Au temps où sur Iper on savait rigoler .....Bull l…
|
|
|
|
youtu.be/BC6Rsdrs_ms
youtu.be/BC6Rsdrs_ms
ben oui ...tout d'un coup l'envie de la rereposter ma prise !!!!!!!!!
Marguerite !!!!!!
m.youtube.com/watch?v=BC6Rsdrs_ms
Découvrez Clémentine, Dominique Desmons !
Au premier temps de la vache,
Toute seule dans son pré, elle est là,
Au premier temps de la vache,
Y a l'éleveur, y a la bête et y a moi,
Et ma faim qui bat la mesure,
La mesure de mon estomac,
Et ma faim qui bat la mesure,
Mesure aussi mes fins de mois.
Une vache à mille francs,
Comme ce serait charmant,
Comme ce serait charmant
Et beaucoup plus tentant
Qu'un' vache à deux mille francs,
Une vache à mille francs.
Une vache à mille francs,
F'rait l'filet à cent francs,
L'rumsteck à soixante francs,
Le gîte à quarante francs,
L'aloyau à trente francs,
La culotte à vingt francs.
Un' culotte à vingt francs,
F'rait la côte à quinze francs,
La poitrine à douze francs,
La bavette à dix francs,
Le collier à huit francs,
Le jarret à quatre francs.
Un jarret à quatre francs,
Ce s'rait intéressant
Et plus avantageux
Pour faire un pot-au-feu
Qu'un jarret à mille francs,
Un jarret à quatre francs…
Au deuxième temps de la vache,
C'est à peine si je l'aperçois,
Au deuxième temps de la vache,
Y a du monde entre la bête et moi.
Il y a l'tueur qui passe la mesure,
L'transporteur qui lui emboîte le pas,
Pendant que l’ ministre nous assure
Que la viande de la vache ne monte pas.
Une vache à mille francs,
En quittant l'Morbihan,
Devient chemin faisant
Comme par enchant'ment
Un' vache à cinq mille francs
En arrivant au Mans.
Un' vache à cinq mille francs,
On ne sait pas comment,
Augment' de vingt pour cent
En traversant Le Mans,
Et d'vient par conséquent
Un' vache à six mille francs.
Un' vache à six mille francs,
C'est bougrement tentant,
C'est bougrement tentant
Pour les gens d'Orléans
D'en faire innocemment
Un' vache à dix mille francs.
Une vache à dix mille,
En sortant de la ville,
Pris' dans un tourbillon
Devient à Arpajon
Par un calcul habile
Une vache à vingt mille,
Cent mille à Montlhéry,
Deux cents à Juvisy,
Trois cent mille à Orly,
Arrivant à Paris,
À la Port' d'Italie
La vach' n'a plus de prix.
La vache est aux Gobelins
Multipliée par vingt,
Par deux cent cinquante deux
Au carr'four Richelieu,
Et par huit cent dix sept
En sortant d'La Villette…
Au dernier temps de la vache,
En rôti, sur l'étal, elle est là,
Au dernier temps de la vache,
Y a un monde entre sa viande et moi.
Et l'Etat, qui prend des mesures,
L'Etat qui mesure notre émoi,
Et l'Etat qui prend des mesures,
Fait monter un peu plus chaque mois.
De la vache à cent francs,
On en mangeait autant,
Autant qu'on en voulait,
Et plus qu'il ne fallait,
À midi, au dîner,
Et dans l'café au lait.
D'la vache à cinq cent francs,
C'est déjà plus gênant,
Moi qu'en mange en moyenne
Dix kilos par semaine,
Pour avoir mon content
Je privais les enfants.
De la vache à mille francs,
De la vache à mille francs,
Il vaut mieux carrément
Se gaver d'ortolans,
Et s'offrir des homards
Tartinés de caviar.
D'la vache à deux mille francs,
Ça s'ra pour l'jour de l'an,
On la mangera truffée,
Sur un grand canapé,
On gardera l'foie gras
Pour les autr's jours du mois.
D'la vache à cinq mille francs,
Ça d'viendra un placement,
Avec mes lingots d'or,
Dans mon grand coffre fort,
J'entass'rai les rumstecks
Et les coupons d'beefsteack.
D'la vache à cinq mille francs,
Ça d'vient décourageant,
C'est pas qu'on soit méchant,
Mais un beau jour, pourtant,
Il faudra bien qu'on sache
Qu'on n'peut plus suivr' la vache !
Oh la vache ! La sale vache …
Oh la vache nous rendra fous !
Oh la vache ! La sale vache …
Oh la vache nous rendra fous !
Oh la vache ! Oh la vache…
Et c'est tout !
|
|
|
|
youtu.be/PMM4ag_m5Ig?si=GIfnk0RCboritO37
J'arrive de chez les hommes peu de choses ont changé
Les États les royaumes c'est à réinventer
Le bonheur est présent il ne ressemble qu'à nous
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
À marcher chez les hommes qu'ai-je vu de la Terre
Quinze villes dix montagnes tout le Gange en prière
À la vie et à toi j'en demande pas beaucoup
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Et que personne ne me prouve le contraire
Toute gloire et richesse sont démarches légères
La balance est égale quand on aime beaucoup
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Tout à côté des hommes je faisais marche arrière
Je passais sans regard sous tous les baptistères
Je tombais dans les pluies comme étoile au mois d'août
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
J'ai aimé beaucoup d'hommes et des hommes m'ont aimée
La naissance d'adulte c'est de s'abandonner
S'il faut le demander à l'autre et à genoux
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Je veux juste une rose un baiser et c'est tout
Quelque chose m’a échappée
|
|
|
|
Les jumeaux
|
|
|
|
:-))))))))
|
|
|
|
C'est juste un petit peu.............. de sûrement…
|
|
|
|
youtu.be/sJA8TB1sZ-k
Connaissez-vous l'histoire de mamie les cheveux mauves
Et de son pote Oscar, un peu sourd et tout chauve ?
Elle puait la violette, il sentait le tabac
Forcément c'était chouette et comme il fallait pas
La la la
Des crétins décrétèrent qu'après le troisième âge
On a la grippe aviaire, la peste ou bien la rage
Et que c'est un scandale de tomber amoureux
Quand on a, au total, cent cinquante ans à deux
Mais rien ne manque et tout est là
Tes clés, ton sac et puis ton chat
Pourtant
Non, non
Non, il manque le temps de la corde à sauter
Puis le bruit de la craie sur le tableau mouillé
Le respect
L'école communale, les hommes à la belote
La gueule du maréchal et puis le bruit des bottes
Et l'odeur des vacances, on joue à la marelle ?
La robe du dimanche, une orange à Noël
Oh oui, mamie, la vie est belle
Alors t'achètes un bouquet d' roses
Quand tes gamins viennent t'écouter
Mais t'aimerais bien donner autre chose
Que des nouvelles de ta santé !
Mais rien ne manque et tout est là
Tes clefs, ton sac et puis ton chat
Pourtant
Oh dis, mamie, c'était comment ?
Le cochon qu'on égorge et la messe en latin
Ton premier soutien-gorge et puis l'odeur du foin ?
La la la
C'était pas la misère, c'était juste l'urgence
Un peu, beaucoup la guerre et surtout ton enfance
À l'heure ou l'avenir était sous le soleil
Et déjà ton sourire, une petite merveille
Oh non ! C'est pas demain la vieille
Que les enfoirés qui t'aiment tant
Vont te ranger de ton vivant
Au fond d'une maison d' retraite
Pour y vieillir la bouche ouverte !
Et rien ne manque, et tout est là
Tes clefs, ton sac et puis ton chat
Pourtant
Non, non
Non, il manque le temps de ton premier amour
Et ce goût de printemps qu'avait le petit jour
À présent
Quand t'y penses aujourd'hui, tu faisais pas la fière
Dans les bras d'un grand lit trop baigné de lumière
Et touchée en plein cœur d'un coup de bal musette
T'as trouvé le bonheur et t'as perdu la tête
Mais rien ne manque et tout est là
Tes clefs, ton sac et puis ton chat
Pourtant
Oh dis, mamie, c'était comment ?
Le goût des cafés crème et le parfum des rues ?
Les chansons, les poèmes, ce type qui t'a plu
La la la
Quand il faisait le monde et beaucoup trop de phrases
Quand tu faisais ta blonde au fond des boîtes à jazz
Au temps des cigarettes qu'on fumait pas dehors
Et que tous les copains n'étaient pas déjà morts
Oh oui, mamie veut croire encore
Au père Noël, au prix du pain
À l'orthographe et aux fleuristes
Aux belles amours qui finissent bien
Et même au parti communiste !
Et rien ne manque, et tout est là
Tes clefs, ton sac et puis ton chat
Pourtant
Non, non
Non, il manque le temps de vivre encore un peu
Et de foutre le camp, pis de faire des envieux
Vous les vieux !
Des crétins décrétèrent qu'après le troisième âge
On éteint la lumière ? Allez, pars en voyage !
Allez vite, il est tard, il faut pas réfléchir
T'as plus trop de mémoire et tant de souvenirs
Oh oui, mamie, tu peux partir
Autour du monde et dans les bras
D'un galopin aux cheveux blancs
Manger la vie avec les doigts
Et boire cul-sec un océan !
Car rien ne manque de là-bas
Tes clefs, ton sac et puis ton chat
Non, rien ne manque de là-bas
Tes clefs, ton sac et puis ton chat
Tu les reverras, va !
C'est juste un petit peu de sûrement pas grand-chose
Connaissez-vous l'histoire de mamie les cheveux mauves ?
Pas besoin d’arrosage
|
|
|
|
Bel arc en ciel
|
|
|
|
Ça penche à la Ciotat
|
|
|
|
Arrivée à Bangkok
|
|
|
|
Avec un rayon de soleil
|
|
|
|