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Adulé à Cannes depuis Drive, polar stylisé qui a rendu célèbre Ryan Gosling, Nicolas Winding Refn avait déjà commencé à décevoir ses fans avec Only God Forgives, son film suivant.Trop noir, trop gore, trop maniéré. Avec The Neon Demon, il pousse la forme

Dès l’exergue, on a compris qu’il allait y avoir un énorme problème.Sur des images léchées de camps de réfugiés de guerre en Afrique (filmées à grands frais d’hélicoptère), il est dit texto : « Les conflits au Sud Soudan et au Liberia ont eu un impact

Ouverte avec le sourire aux lèvres, avec le dernier Woody Allen la 69e édition du Festival de Cannes s’achève sur une note d’humour nettement plus décapant et sexué avec Elle de Paul Verhoeven, adaptation jubilatoire du roman de Philippe Djian « Oh… »

On comprend mieux ce qui a poussé Thierry Frémeaux à rajouter tardivement le nouveau film d’Asghar Fahradi à la sélection et à le programmer en compétition le même jour qu’Elle de Paul Verhoeven. Sous un habillage certes très différent, les deux films

Elle (Paul Verhoeven) : Oh... qu'elle est bonne cette adaptation du roman de Philippe Djian ! Le Client (Asghar Farhadi) : un bons gros téléfilm iranien The Last Face: Charlize et Javier font du tourisme sexuel de guerre The Last Face: Palme d'or

"Vis comme si c'était ton dernier jour. Un jour ça le sera" (Café Society) "L'Amour sans retour a fait plus de victimes que la tuberculose" (Café Society) "Hollywood, c'est barbant , cruel et féroce" (Café Society) "La vie a son propre agenda" (Café