Pompey's dollar landscape
VW Coccinelle LUX-81-27
Le mur de Jalan Sehala / Jalan Sehala's wall
Station d'essence Shell dans 2.5 km
Audi TTS coupé en jaune
Commerces modestes
Rue commerciale
Zone for life
Die Informationsbank
Espelkamp train station | The gateway to the world
Heute leider kein Ausschank ...
Hamburger Essenswürdigkeit (PiP)
Saab 9-5 SportCombi "Feuerwehr"
Bus S.P. Bumi Super VIP !!
Dilarang merokok / Défense de fumer
Fuck
Demolition of Dumbarton Town Centre
Checkpoint Charlie
..und ich wünsche viel Glück (Junggesellinabschied…
Musée 39-45 de Léhon-Dinan (22)
Macro Mondays: Thema "Briefumschlag"
blau und rot
Zone huilée / Oiled area
Safeway moving on wheels / Un chien mignon qui dém…
Musée 39-45 de Léhon-Dinan (22)
Yacht Being Lifted from the River Leven
Boat on the River Leven
calabacines empanizadas / breaded courgettes
Locksmith East Blatchington 2 6 2024
le graffeur WEN 2 au travail
Saturday Self-Challenge: schwarz und weiß
Der rote Ballon
Fence & nature /Nature & clôture (2)
Horloge pakchong
Found
HBM und eine allen eine schöne Woche
Adler Flugschau in Zingst
Salvador de Bahìa - Quattro orologi a 90° - opera…
MULOT HIGH SCHOOL.
African pub.
Yachts at Sandpoint Marina
Mobile Sign.
Burger King
Demi Honda et architecture de bois / Wooden archit…
Affiche Klinik
See also...
Vos photos de choc sans discrimination / Tus fotos de choque indiscriminado
Vos photos de choc sans discrimination / Tus fotos de choque indiscriminado
Bleu sans discrimination / Blue without discrimination
Bleu sans discrimination / Blue without discrimination
All *** photographs in blue things - blue must be dominant
All *** photographs in blue things - blue must be dominant
" Meine eigenen " Meisterwerke " - Mes propres "chefs - d'oeuvres " My own " master pieces "
" Meine eigenen " Meisterwerke " - Mes propres "chefs - d'oeuvres " My own " master pieces "
ĿЄ$ ĈØЦP$ ÐЄ ĈØЄЦR ÐЄ - ĿЄ ¥ĪИ & ĿЄ ¥ÂИǤ -et VALERIANE - ÂRŦ ÐĪǤĪŦÂĿ
ĿЄ$ ĈØЦP$ ÐЄ ĈØЄЦR ÐЄ - ĿЄ ¥ĪИ & ĿЄ ¥ÂИǤ -et VALERIANE - ÂRŦ ÐĪǤĪŦÂĿ
MERS, rivers, lakes, ponds, streams, fountains, water, ice...
MERS, rivers, lakes, ponds, streams, fountains, water, ice...
words...mots...palavras...wörter...parole...palabras...слова...
words...mots...palavras...wörter...parole...palabras...слова...
Authorizations, license
-
Visible by: Everyone -
Attribution + non Commercial
- Photo replaced on 18 May 2016
-
601 visits
Mes désirs dès lors ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude!
youtu.be/YBQVkJhZaYg?si=EziRL6YkEZga90ik
La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l'ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle
Translate into English
La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l'ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle
Léopold, Valeriane ♫ ♫ ♫¨*, PascalL, Annemarie and 6 other people have particularly liked this photo
- Keyboard shortcuts:
Jump to top
RSS feed- Latest comments - Subscribe to the comment feeds of this photo
- ipernity © 2007-2025
- Help & Contact
|
Club news
|
About ipernity
|
History |
ipernity Club & Prices |
Guide of good conduct
Donate | Group guidelines | Privacy policy | Terms of use | Statutes | In memoria -
Facebook
Twitter
Léopold club has replied to Valeriane ♫ ♫ ♫¨* clubKrisonteme club has replied to Léopold clubSign-in to write a comment.