256 Vieilles prierres en contre-jour.
Res no passa tan lent
L’ombre d’un doute…
Saint-Cado (56) 9 juin 2013.
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Buildings - Bâtiments - Edificios - Edifici - Gebäude - Edifícios - Gebouwen - Budynki
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Abbaye de Solesmes.
Le monastère de Solesmes, sur les bords de la Sarthe, à la frontière du Maine et de l’Anjou, fut fondé au tout début du XIe siècle par Geoffroy le Vieil, seigneur de Sablé. Ce dernier fit don aux moines de l’abbaye de La Couture, au Mans, du vicus de Solesmes, avec tout ce qui en dépendait, et de divers autres domaines, qu’il avait acquis dans le but de faire une fondation pieuse. La charte de cette donation fut rédigée à l’occasion de la dédicace de la nouvelle église du monastère, qui eut lieu, sans doute un 12 octobre, entre 1006 et 1015. La date de 1010 retenue pour la fondation, l’a été par simple conjecture. La Couture envoya à Solesmes les premiers moines, qui vivaient selon la règle de saint Benoît. La fondation de Geoffroy de Sablé sera jusqu’à la Révolution un prieuré dépendant de l’abbaye mancelle, mais son seul prieuré conventuel et son établissement le plus important.
Les deux premiers siècles de l’histoire du monastère furent prospères. Le gros œuvre de l’église abbatiale remonte au XIe siècle. Du XIIe siècle date probablement l’arrivée à Solesmes d’une relique de la couronne du Christ, la Sainte Épine, conservée encore de nos jours dans le trésor des reliques de l’abbaye.
Après les affres de la guerre de Cent ans, au cours de laquelle le monastère sera par deux fois pillé et incendié, en 1370 et 1425, Solesmes connut une période de renouveau dont témoignent les deux grands ensembles sculptés de l’église, chefs-d’œuvre de l’art français des XVe et XVIe siècles, mais aussi véritable théologie par l’image : les « Saints de Solesmes », qui firent longtemps la célébrité du prieuré.
Mais avant tout, le nom de Solesmes est intimement lié à un homme auquel il doit sa notoriété actuelle, dom Prosper Guéranger qui, en 1833, s’y installa avec quelques compagnons, rétablissant ainsi en France le vieil ordre de Saint-Benoît, celui de Cluny et des congrégations de Saint-Vanne et de Saint-Maur, anéanti à la Révolution.
L’annonce de la mise en vente du prieuré de Solesmes, en 1831, est le détonateur qui va conduire l’abbé Guéranger, jeune prêtre du diocèse du Mans, à y rétablir l’ordre de Saint-Benoît, avec l’office divin et les études ecclésiastiques, sauvant de justesse le monastère d’une destruction certaine et entière.
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Les deux premiers siècles de l’histoire du monastère furent prospères. Le gros œuvre de l’église abbatiale remonte au XIe siècle. Du XIIe siècle date probablement l’arrivée à Solesmes d’une relique de la couronne du Christ, la Sainte Épine, conservée encore de nos jours dans le trésor des reliques de l’abbaye.
Après les affres de la guerre de Cent ans, au cours de laquelle le monastère sera par deux fois pillé et incendié, en 1370 et 1425, Solesmes connut une période de renouveau dont témoignent les deux grands ensembles sculptés de l’église, chefs-d’œuvre de l’art français des XVe et XVIe siècles, mais aussi véritable théologie par l’image : les « Saints de Solesmes », qui firent longtemps la célébrité du prieuré.
Mais avant tout, le nom de Solesmes est intimement lié à un homme auquel il doit sa notoriété actuelle, dom Prosper Guéranger qui, en 1833, s’y installa avec quelques compagnons, rétablissant ainsi en France le vieil ordre de Saint-Benoît, celui de Cluny et des congrégations de Saint-Vanne et de Saint-Maur, anéanti à la Révolution.
L’annonce de la mise en vente du prieuré de Solesmes, en 1831, est le détonateur qui va conduire l’abbé Guéranger, jeune prêtre du diocèse du Mans, à y rétablir l’ordre de Saint-Benoît, avec l’office divin et les études ecclésiastiques, sauvant de justesse le monastère d’une destruction certaine et entière.
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Bonne et agréable fin de semaine salutaire.
Bon weekend*****
I like the PiPs too, especially the second PiP showing the monastery in a wider context.
www.ipernity.com/group/buildings
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