moi

ma dernière photo avec PIC MONKEY .remercie ima et PicMonkey pour l'utilisation gratuite pendant longtemps...et c'était bien,,,

l'esprit des lieux, Cette capacité rare de saisir l’être des choses est celle du regard. Effacer son ego pour laisser venir à soi la réalité qui s’offre." Et "L’esprit des lieux. D’un battement de paupières, laver l’œil de toute image antérieure. Rendre son esprit vierge d’échos pour accueillir ce qui vient." ....2024 ..... Lawrence Durrell the spirit of the place, This rare ability to grasp the being of things is that of the gaze. Erase your ego to let the reality that presents itself come to you." And "The spirit of the place. With a blink of the eyelids, clear the eye of any previous image. Make your mind free of echoes to welcome what is coming." 2024..... Lawrence Durrell

pause à bientot ....

Le visage de ceux qu’on n’aime pas encore Apparaît quelquefois aux fenêtres des rêves Et va s’illuminant sur de pâles décors Dans un argentement de lune qui se lève. Il flotte du divin aux grâces de leur corps Leur regard est intense et leur bouche attentive ; Il semble qu’ils aient vu les jardins de la mort Et que plus rien en eux de réel ne survive. La furtive douceur de leur avènement Enjôle nos désirs à leurs vouloirs propices, Nous pressentons en eux d’impérieux amants Venus pour nous afin que le sort s’accomplisse Ils ont des gestes lents, doux et silencieux, Notre vie uniment vers leur attente afflue : Il semble que les corps s’unissent par les yeux Et que les âmes sont des pages qu’on a lues. Le mystère s’exalte aux sourdines des voix, À l’énigme des yeux, au trouble du sourire, À la grande pitié qui nous vient quelquefois De leur regard, qui s’imprécise et se retire... Ce sont des frôlements dont on ne peut guérir, Où l’on se sent le coeur trop las pour se défendre, Où l’âme est triste ainsi qu’au moment de mourir ; Ce sont des unions lamentables et tendres... Et ceux-là resteront, quand le rêve aura fui, Mystérieusement les élus du mensonge, Ceux à qui nous aurons, dans le secret des nuits, Offert nos lèvres d'ombre, ouvert nos bras de songe. Anna de Noailles (1873-1933)

c'est tout un art,,, au dessus de la marmite comme dit Typo,,, ca tape,

en transparence le café restaurant qui s'est ouvert un jour et s'est fermé le lendemain ,,après 4 mois de travaux,, de tout cœur avec les employés qui étaient déjà en chômage technique pour travaux, surtout les saisonniers dont la moitié ont eu leur contrat annulé,, c'est un désastre ,,,pour la restauration - et pour beaucoup de personnes au chomage hélas,

mes tranches de vie,,, en rangeant mes photos,,, de l'adolescence à mes 50 ans,,,,