au coeur de l'automne
on va essayer .....
on regardait les bateaux ♫ ♫
les beaux moments sont trop courts
deux z'amours
la rue ,,,,
H F F
j'ai vu de la lumière
la mouette rieuse,,,
le banc du temps qui passe
SATUDAY SELF CHALLENGE
un si bel automne,,
conversation autour du clocher,
entre les averses et le vent
poésie d'automne
un coup de folie
halloween confinement
moi aussi suis confiné
sur la pente savonneuse,,,
vague à l'ame,,,
le photographe
dans l'air du temps
encore un jour de grande lessive
figures imposées
ca tangue ,,,
le photographe et la mer,
entre les perturbations ,,,
le temps d'une éclaircie,,
une petite mousse ca vous dit,,
voir note,,,
au large ca tangue un maximum
elle a les yeux bleus ...
dimanche agité
la mer a toujours quelque chose à dire,
la nature résiste
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de lumière et d'ombre
Une silhouette grise émerge de la brume
Qui couvre le rivage dans les lueurs du matin.
Brûlé par le soleil, lavé par le crachin.
C’est un ancien voilier, mal blanchi par l’écume.
Endormi sur la grève il attend le grand flot.
Un lit de goémon, est sa pauvre paillasse.
Quand le vent de noroît fait gémir sa carcasse
Il pleure par ses blessures, on entend ses sanglots.
Les jours de grande marée, fiévreux, il se relève,
Il va appareiller ! Cette illusion est brève,
Il tire sur sa chaîne mais reste prisonnier.
Par son flanc déchiré il montre ses membrures
Et dresse vers le ciel muet, qu’il paraît supplier,
Deux vieux bois décharnés, restes de sa mâture.
Antoine Livic, Chants d’écume suivi de fleurs fanées,
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Qui couvre le rivage dans les lueurs du matin.
Brûlé par le soleil, lavé par le crachin.
C’est un ancien voilier, mal blanchi par l’écume.
Endormi sur la grève il attend le grand flot.
Un lit de goémon, est sa pauvre paillasse.
Quand le vent de noroît fait gémir sa carcasse
Il pleure par ses blessures, on entend ses sanglots.
Les jours de grande marée, fiévreux, il se relève,
Il va appareiller ! Cette illusion est brève,
Il tire sur sa chaîne mais reste prisonnier.
Par son flanc déchiré il montre ses membrures
Et dresse vers le ciel muet, qu’il paraît supplier,
Deux vieux bois décharnés, restes de sa mâture.
Antoine Livic, Chants d’écume suivi de fleurs fanées,
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