Et nous
Bébé chien à Espezel
Notre Petit chaperon rouge à Espezel
les gardiennes
Jabberwocky
Sur le blanc crayeux De son visage laiteux,Lol
Sécurité maxi
Quoi !!!!!!
Mis en bouteille à la propriété
S'apprennent par coeur sur le bout des doigts
Envole-moi ... Remplis ma tête d'autres horizons,…
De feu et de fer
Heureusement que ce n'est pas lui qui a explosé lo…
A Mirepoix
L'intimité du vent
J'ai au coeur une vieille solitude
Mais où est la musique
Ma guarda che luna, guarda che mare,
Buche chien triste !!!
Alors souris
Sur la plage, le sable bêle Comme des moutons d'in…
et oui le jour ou j'ai craqué pour la deuxième foi…
Ça vous tente toujours Mérial :-))
Après explosion de la vitre
Laissons le champs libre à l'oiseau
Chemin d'automne ..........sur fond noir :-))
Couleurs d'automne
Route d'automne
Arbres d'automne
J'ai oublié les nuits De la souffrance,Aucun souve…
Dime la tierra, y el fuego
Sans titre 1
Soir rouge
Y a des jours où je me lâche Et j'envoie tout fout…
Carcassonne
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On a soif d'être vieux, Avant d'avoir vécu
On arrive tout nu
Un matin au portique,
Parmi tant d'étrangers,
On est un inconnu
on découvre la vie
Tout comme une Amérique
On a soif d'être vieux,
Avant d'avoir vécu
Et puis, on s'aperçoit
Que partir, ça sert à rien,
Et puis, on s'aperçoit
Que de rester, ça sert à rien,
Alors, on reste,
Alors, on reste, n'importe où.
On se trouve un matin,
On est deux, face à face,
On se trouve un matin
Deux dans le même lit,
On découvre l'amour,
On lui cède la place,
Mais il fait la valise
Avant qu'on ait compris
Et puis, on s'aperçoit
Que d'être deux, ça sert à rien,
Et puis, on s'aperçoit
Que d'être seul, ça sert à rien,
Alors on fait, alors on fait,
N'importe quoi !
On rencontre un matin
Quelqu'un qui nous ressemble,
Un qui est étranger,
Parmi ces étrangers,
On échange des mots,
Et quelques verres ensemble,
A cet instant, on croit
Que la vie va changer
Et puis, on s'aperçoit
Que de parler, ça sert à rien,
Et puis, on s'aperçoit
Que de se taire, ça sert à rien,
Alors on dit, alors on dit,
N'importe quoi.
On se trouve, un matin,
Tout nu devant sa glace,
Devant son ombre morte,
On est presque étranger,
On se retourne un peu,
Mais le passé nous glace
Et on s'étonne alors,
D'avoir tellement changé,
Et puis, on s'aperçoit
Que le passé, ça sert à rien,
Et puis, on s'aperçoit
Que l'avenir, ça sert à rien,
Alors, on meurt, alors, on meurt
N'importe quand !
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