Bienvenue à Versailles

L'air - Étienne Le Hongre (1628-1690) Statue, marbre, 1674 - 1683 Inv. 2009.00.111 © 2024 Arlequin Photographie

Le bassin de Latone. Latone et la métamorphose de paysans en grenouille. Latone supplie la justice de Jupiter et cherche à s’échapper, protégeant ses enfants. En effet, elle reprochait aux paysans de Lycie de ne pas lui avoir porté assistance, dans ce moment où elle devait affronter le courroux de Minerve, femme trompée de Jupiter. Le maître des dieux décide alors de les métamorphoser en grenouilles. C’est ainsi qu’on peut voir cette transformation dans les bronzes dorés entourant le bassin, ainsi que dans les autres bassins du parterre. Tout autour du bassin, 174 grenouilles, lézards, tortues, mais aussi les paysans dont la métamorphose est en cours, lançant leurs jets d’eau vers la déesse. © 2024 Arlequin Photographie

Le bassin de Latone. Latone et la métamorphose de paysans en grenouille. Latone supplie la justice de Jupiter et cherche à s’échapper, protégeant ses enfants. En effet, elle reprochait aux paysans de Lycie de ne pas lui avoir porté assistance, dans ce moment où elle devait affronter le courroux de Minerve, femme trompée de Jupiter. Le maître des dieux décide alors de les métamorphoser en grenouilles. C’est ainsi qu’on peut voir cette transformation dans les bronzes dorés entourant le bassin, ainsi que dans les autres bassins du parterre. Tout autour du bassin, 174 grenouilles, lézards, tortues, mais aussi les paysans dont la métamorphose est en cours, lançant leurs jets d’eau vers la déesse. © 2024 Arlequin Photographie

Nymphe à la coquille Borghèse Auguste Suchetet (1854-1932) © 2024 Arlequin Photographie

Jardins et bosquets © 2024 Arlequin Photographie

Les grottes de Téthys "Apollon servi par les nymphes" © 2024 Arlequin Photographie

Bosquet des Trois Fontaines. Terrasse supérieure © 2024 Arlequin Photographie

Pendant ce temps, à l'extérieur du château de Versailles... D'une manière ou d'une autre, les monuments historiques en France sont toujours accompagnés d'un manège. © 2024 Arlequin Photographie

Louise Julie Constance de Rohan-Rochefort-Montauban, Countess de Brionne, Princesse de Lorraine, (* 28. März 1734; † 20. März 1815) © 2024 Arlequin Photographie „Sie war die Schönheit selbst und die allumfassende Weisheit. Sie hatte eine wohlgeformte, hohe Taille, eine würdige Haltung und ein imposantes, hilfsbereites und sanftes Aussehen. Sie war eine christliche Juno, heraldisch, und immer gut gepudert, gut an die Hermeline der Bretagne angelehnt und mit Lothringer Kreuzen in Hülle und Fülle gesprenkelt. Sie hatte eine ganz besondere Art, ihr Rot platzieren zu lassen, nämlich in einer absolut geraden Linie ganz nah an den Augen, deren Glanz diese Schicht aus glänzendem Karmin mit Silberglasur nicht minderte, während die drei anderen unteren und seitlichen Linien mit vollkommener Anmut in Kurven abgerundet verliefen, in gleichem Abstand von der Nase und den Ohren, ohne jemals unter die Höhe des Mundes zu fallen, was ihrer gesamten Kopfform eine große Vornehmheit verlieh. Sie hatte gesunden Menschenverstand mit einem sehr guten Geschmack, wenig Geist mit einer charmanten Zurückhaltung. Sie war nicht immer gleichermaßen zufrieden mit dem guten Benehmen ihres Mannes (Prinz Louis von Lothringen, Großstallmeister von Frankreich), da er sich nicht immer in ausreichend guter Gesellschaft zeigte; daher sagte sie ihm eines Tages in meiner Gegenwart mit einem feierlichen Blick der Parteilichkeit:“Monsieur, wenn ich Sie noch in den Tuilerien treffe, wie Sie dort mit den Herren Rivarol und Champcenetz spazieren gehen, können Sie damit rechnen, und ich gebe Ihnen mein Ehrenwort, dass ich vor ihnen einen Knicks machen werde!“ – Madame de Créquy « Elle était la beauté même, et la sagesse infuse. Elle avait une taille bien prise et haute, avec un maintien digne, un air imposant, obligeant et doux. C'était une Junon chrétienne, héraldique, et toujours bien poudrée, bien appuyée sur les hermines de Bretagne et mouchetée de croix de Lorraine à profusion. Elle avait une manière toute particulière de faire placer son rouge, c’est-à-dire en ligne absolument droite au plus près des yeux, dont cette couche de brillant carmin glacé d’argent ne diminuait pas l'éclat, tandis que les trois autres lignes inférieures et latérales allaient s’arrondissant en courbe avec une grâce parfaite, à distance égale du nez et des oreilles, et sans jamais tomber au-dessous du niveau de la bouche, ce qui donnait à tout son air de tête une grande distinction. Elle avait du bon sens avec un très bon goût, peu d’esprit avec une réserve charmante. Elle n'était pas toujours également satisfaite de la bonne tenue de son mari (le Prince Louis de Lorraine, Grand-écuyer de France), attendu qu’il ne se montrait pas toujours en assez bonne compagnie; aussi lui dit-elle un jour en ma présence, avec un air solennel de parti pris: ‹Monsieur, si je vous rencontre encore dans les Tuileries vous y promenant avec MM. Rivarol et Champcenetz, vous pouvez compter, et je vous donne ma parole d’honneur, que je leur fera la révérence !› »

Versailles en automne © 2024 Arlequin Photographie

Le Château de Versailles la nuit © 2024 Arlequin Photographie

Le Château de Versailles la nuit. La Chapelle royale © 2024 Arlequin Photographie

HFF - HAPPY FENCE FRIDAY © 2024 Arlequin Photographie