Berlin, 14-18 février 2024
15 février : Tour de la victoire, porte de Brandebourg, musée de la guerre froide, Staatsbibliothek, université Humboldt, tour de la télévision, Checkpoint Charlie et musée du mur de Berlin.
16 février : Musée de l'ex-RDA, Altes Museum, Bode Museum, Neues Museum.
17 février : Le bunker Fichte, Charlottenburg, le mémorial aux Sinti assassinés et celui aux Juifs assassinés.
16 février : Musée de l'ex-RDA, Altes Museum, Bode Museum, Neues Museum.
17 février : Le bunker Fichte, Charlottenburg, le mémorial aux Sinti assassinés et celui aux Juifs assassinés.
Dernier tour dans Berlin
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Peu avant l'hôtel de ville rouge (que je n'aurai malheureusement pas le temps de visiter), vers le sud, une maison de style assez ancien.
Mémorial des Sinti.
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C'est un génocide mal connu (et mal documenté), mais 200 000 Tziganes furent envoyés à la mort par les nazis. Il a fallu attendre 2012 pour qu'Angela Merkel inaugure ce mémorial. Le retard a du moins été comblé par un emplacement symbolique, entre le Reichstag et la porte du Brandebourg.
Reichstag.
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J'aurais pu mettre des photos avec la coupole, mais la lumière sur celle-ci, avec le soleil qui se couche, est assez jolie.
Adieu à la porte du Brandebourg.
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Adieu à la colonne de la victoire.
Mémorial aux Juifs assassinés.
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Il est situé un peu au sud de la porte du Brandebourg, mais on peut facilement passer à côté. Ce mémorial, inauguré fin des années 1990, a été installé dans un endroit qui était un ancien bunker nazi, puis la "zone de mort" où passait le mur de Berlin.
L'effet est frappant. Il ne faut pas non plus oublier d'aller du côté est pour trouver l'entrée au musée mémorial installé dans l'ancien bunker nazi.
Encore plus frappant de voir des touristes décérébrés se mettre en scène au milieu de ce monument (mention spéciale aux Asiatiques).
Musée des Juifs assassinés.
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Après une frise glaçante, qui décrit vraiment très bien les différents aspects de la Shoah (je ne reproduis pas certaines des photos terribles que l'on peut y voir), on trouve une salle avec des dalles lumineuses montrant des témoignages de Juifs qui savaient ce qui se passait, et n'y ont en général pas survécu. Glaçant.
Famille Holman
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Une salle présente les destins de plusieurs familles de toute l'Europe, complètement ravagées par les massacres. Ici, la famille Holman, des Juifs de Paris qui vivotaient.
Mémorial aux Juifs assassinés, 2.
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Rues de Berlin, 1.
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Malgré un dernier coup de barre, je ressors le dernier soir à la recherche des fameux clubs alternatifs de Berlin, sans avoir aucune envie d'y entrer car le lendemain je passe ma journée à rentrer en train en priant que mes correspondances ne sautent pas.
Et l'excursion vaut le détour. C'est facile, beaucoup de ces bars sont au même endroit, au sud-est, vers Warschauer Strasse ou Schelsiger Tor.
Je ne sais pas si c'est un club, plutôt un squat, mais le nom est marrant. "Niergendwo", "nulle part".
Rues de Berlin, 2.
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En traversant un parc obscur, on tombe sur Berghain, un des clubs les plus réputés, installé dans une centrale électrique désaffectée.
Rues de Berlin, 3.
Rues de Berlin, 4
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Une ambiance tout de suite reconnaissable. A noter qu'il y a juste une ambiance de fête étudiante, ou de fête foraine, sans aucun sentiment d'insécurité. Au reste il y a des flics prêts à intervenir à tous les coins de rue.
Rues de Berlin, 5.
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Désolé ces photos-là sont prises avec mon téléphone portable, dont l'objectif n'est pas très propre...
Rues de Berlin, 6.
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Rues de Berlin, 7.
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Des entrepôts désaffectés. On est tout prêt de la ligne de chemin de fer et du U-Bahn.
Rues de Berlin, 8.
Rues de Berlin, 9
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