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Nouveau quai de débarquement


Prachuap-Khiri-Khan (Thaïlande) - Je publie une seconde photo en moins de 24 h, car à Bang-Saphan-Yai, où je suis arrivé depuis moins de deux heures, nous en sommes déjà à la seconde coupure d'électricité. J'applique donc le principe de précaution avec cette photo prise hier au nouveau port de pêche de Prachuap.
Sinon, réveillés ce matin à 6 h, heure locale, comme tous les jours, nous avons attendu une heure qu'un tuk-tuk passe pour nous emmener à la station des mini-bus. Là, pas de problème, nous avons pu prendre nos tickets (plus un troisième pour nos sacs à dos). Vingt minutes plus tard nous prenions la route du sud, que nous connaissons déjà. C'est la raison pour laquelle nous y retournons.
Je vous avais déjà parlé de Bang-Saphan-Yai, où je suis retourné plusieurs fois pour retrouver une petite chienne que j'avais prise en affection. La réciproque est aussi vraie. Je ne pense pas la retrouver. Ayant dépassée les 10 ans maintenant, elle n'est probablement plus de ce monde. Mais si elle est toujours en vie, je vais la retrouver. Je ne me fais cependant pas d'illusions.
Quand le mini-bus nous à déposé à quelques kilomètres de ma Guest-house habituelle, avant de repartir, le chauffeur m'a dit qu'il n'y avait pas de taxi, mais des motos-taxis. En réalité il s'agit de mobylettes avec chauffeurs. Avec deux sacs à dos de plus de 20 kilos -qui au fil du voyage sont de plus en plus lourds - et mon sac photo, même en prenant deux mobylettes, ce n'était pas pensable. Je suis donc parti à pied à la recherche d'un moyen de transport acceptable, comme un tuk-tuk side-car, dont le side n'est qu'une planche à roues placée littéralement à une mobylette. Mais là, on peut s'asseoir sur nos sacs. Au bout de 20 minutes alors que j'allais proposer de l'argent à un automobiliste pour qu'il s'improvise taxi, un homme m'a demandé ce que je cherchais. Lui, parlait quelques mots d'anglais. Il me comprenait en tout cas. Il est allé chercher un tuk-tuk conduit par une jeune femme qui, nous à acheminé à destination, 6 kilomètres plus loin. Il a fait ça, juste pour rendre service. Chapeau !
Sur place ma guest-house habituelle était fermée. Les bungalows étaient toujours là, bien entretenus, mais personne pour nous accueillir. Au bout d'une demi-heure, je suis reparti à pied, en sueur, sous un soleil de plus en plus mortel, à la recherche d'un abri pour la nuit. Il n'y avait pas de quoi paniquer, même si le lieu est plutôt désertique entre plage et palmiers, j'avais vu qu'un hôtel s'était construit à 500 mètres. En dernier lieu c'est là que nous finirions. A peine arrivé devant le nouvel hôtel, j'ai aperçu un "ressort" de l'autre côté de la rue. C'est d'un des charmants bungalows de cet établissement que j'écris ces quelques lignes... En attendant la prochaine coupure électrique.
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Sinon, réveillés ce matin à 6 h, heure locale, comme tous les jours, nous avons attendu une heure qu'un tuk-tuk passe pour nous emmener à la station des mini-bus. Là, pas de problème, nous avons pu prendre nos tickets (plus un troisième pour nos sacs à dos). Vingt minutes plus tard nous prenions la route du sud, que nous connaissons déjà. C'est la raison pour laquelle nous y retournons.
Je vous avais déjà parlé de Bang-Saphan-Yai, où je suis retourné plusieurs fois pour retrouver une petite chienne que j'avais prise en affection. La réciproque est aussi vraie. Je ne pense pas la retrouver. Ayant dépassée les 10 ans maintenant, elle n'est probablement plus de ce monde. Mais si elle est toujours en vie, je vais la retrouver. Je ne me fais cependant pas d'illusions.
Quand le mini-bus nous à déposé à quelques kilomètres de ma Guest-house habituelle, avant de repartir, le chauffeur m'a dit qu'il n'y avait pas de taxi, mais des motos-taxis. En réalité il s'agit de mobylettes avec chauffeurs. Avec deux sacs à dos de plus de 20 kilos -qui au fil du voyage sont de plus en plus lourds - et mon sac photo, même en prenant deux mobylettes, ce n'était pas pensable. Je suis donc parti à pied à la recherche d'un moyen de transport acceptable, comme un tuk-tuk side-car, dont le side n'est qu'une planche à roues placée littéralement à une mobylette. Mais là, on peut s'asseoir sur nos sacs. Au bout de 20 minutes alors que j'allais proposer de l'argent à un automobiliste pour qu'il s'improvise taxi, un homme m'a demandé ce que je cherchais. Lui, parlait quelques mots d'anglais. Il me comprenait en tout cas. Il est allé chercher un tuk-tuk conduit par une jeune femme qui, nous à acheminé à destination, 6 kilomètres plus loin. Il a fait ça, juste pour rendre service. Chapeau !
Sur place ma guest-house habituelle était fermée. Les bungalows étaient toujours là, bien entretenus, mais personne pour nous accueillir. Au bout d'une demi-heure, je suis reparti à pied, en sueur, sous un soleil de plus en plus mortel, à la recherche d'un abri pour la nuit. Il n'y avait pas de quoi paniquer, même si le lieu est plutôt désertique entre plage et palmiers, j'avais vu qu'un hôtel s'était construit à 500 mètres. En dernier lieu c'est là que nous finirions. A peine arrivé devant le nouvel hôtel, j'ai aperçu un "ressort" de l'autre côté de la rue. C'est d'un des charmants bungalows de cet établissement que j'écris ces quelques lignes... En attendant la prochaine coupure électrique.
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J'espère que tu vas pouvoir quand même retrouver ta petite chienne.
Bonne continuation. Amitiés
A beautiful image
HFF!
Superb notes!
Jean-luc Drouin club has replied to Christa1004 clubComme on voit souvent des bacs en plastique sur nombreuses de mes photos, un ami m'a suggéré de faire une exposition sur les bacs et cuvettes en plastique à travers le monde.
Ce qui va dans le sens de ta remarque ;-)))
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