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Les Particules - Karnauch-Phil Baron
Un point vorace s’agite sans fin
Sa tête chercheuse ne s’arrête pas
Il disparaît sans qu’on n’en sache
Rien de très net un point d’histoire
Obscur comme serait notre naissance
Mais juste avant qu’est-ce qu’y avait
Un point vital qui gémissait
L’envie de vivre cherchant sa forme
Au bout de la ligne qui se tortille
Comme une bouche qui avalerait
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
Dans la palpitation céleste
Où y’a des mouches battant des ailes
Collées au ciel bouchant la vue
Le point débouche l’écume aux lèvres
C’est une gueule qui évacue
Tout c’qui dérange sur son passage
Elle continue elle s’accumule
Ses écailles brillent dans la courbure
D’un monde nouveau qu’elle agrandit
En avalant toutes les parties
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
A ces tournants qu’on imagine
Les sentiments jamais l’arrêtent
L’avidité qui sédimente
Fait des collines dans les abîmes
Les épluchures de son festin
Laissent une trace qui brille au loin
La forme s’dilate puis se dit faite
Aux dimensions d’un univers
Qui se résume à ce gros vers
Qui avale tout l’avant l’arrière
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
Tout ça ce sont très scientifiques
Des théories dans les manuels
Mais quand il faut s’y confronter
Tous les organes à leurs rochers
Se fixent un point à conserver
Et se démènent sans trop comprendre
Ce goût amer ce goût de cendre
Tous les regrets de ce gros vers
Trop dispersé qui ne sait plus
L’avant l’arrière quoi avaler
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
(Karnauch/Phil Baron)
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Sa tête chercheuse ne s’arrête pas
Il disparaît sans qu’on n’en sache
Rien de très net un point d’histoire
Obscur comme serait notre naissance
Mais juste avant qu’est-ce qu’y avait
Un point vital qui gémissait
L’envie de vivre cherchant sa forme
Au bout de la ligne qui se tortille
Comme une bouche qui avalerait
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
Dans la palpitation céleste
Où y’a des mouches battant des ailes
Collées au ciel bouchant la vue
Le point débouche l’écume aux lèvres
C’est une gueule qui évacue
Tout c’qui dérange sur son passage
Elle continue elle s’accumule
Ses écailles brillent dans la courbure
D’un monde nouveau qu’elle agrandit
En avalant toutes les parties
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
A ces tournants qu’on imagine
Les sentiments jamais l’arrêtent
L’avidité qui sédimente
Fait des collines dans les abîmes
Les épluchures de son festin
Laissent une trace qui brille au loin
La forme s’dilate puis se dit faite
Aux dimensions d’un univers
Qui se résume à ce gros vers
Qui avale tout l’avant l’arrière
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
Tout ça ce sont très scientifiques
Des théories dans les manuels
Mais quand il faut s’y confronter
Tous les organes à leurs rochers
Se fixent un point à conserver
Et se démènent sans trop comprendre
Ce goût amer ce goût de cendre
Tous les regrets de ce gros vers
Trop dispersé qui ne sait plus
L’avant l’arrière quoi avaler
Les particules
Et la poussière
Les particules
Au bord des lèvres
(Karnauch/Phil Baron)
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