En prenant ce petit chemin qui fleurait bon le romarin,
J’entendais le chant stridulant des cigales
Qui faisait un concert magistral.
Il régnait ici l’indéfinissable, l’étrange
Dans ces garrigues parfumées de thym et de serpolet.
Et dans ces radieux mélanges, des bruits familiers.
La nature nous désarme et l’on tombe sous son charme.
Pagnol chantait l’eau des collines
Ce n’était point paroles sibyllines.
Dans le bleu des lavandes,
J’offrirais des brassées d’abondance.
Je me sentais hors du monde
Et mon âme se laissait aller, vagabonde.
Qu’il sentait bon ce petit chemin, de thym et de romarin
Aux senteurs de notre belle Provence…
(c)Valériane
Lamipiero tu es incorrigible vraiment. pourquoi à deux main dans la main...moi j'aime la solitude pour en ressentir l'atmosphère des lieux...
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