"JAMAIS !"
Ce mot, à nouveau clamé,avait déclenché sa fureur. En un éclair, il
s'était saisi d'une pierre à portée de main et il l'avait frappée, de toute
sa force déchaînée, faisant jaillir le sang de son visage terrorisé. Elle
tenta d'articuler : "PIERRE, arrête, pitié ! je ne voulais..."
Elle ne put - il était déjà trop tard - achever sa phrase.
Et pourtant,longtemps, il continua à la frapper, comme s'il
souhaitait à jamais détruire l'image de celle qu'il avait tant désirée.
L'image du bonheur qu'il ne connaîtrait plus...
"Comme un pt'it coquelicot, mon âme, un tout pt'it coquelicot, ça n'est
rien d'autre qu'une aventure, ta pt'ite histoire et je te jure..."
Seule, cette mélodie et ces paroles surgies d'un pan de sa mémoire...
Seul ! Il était à nouveau seul...*
Et, déjà, il avait tout oublié ! Comme un, somnambule, il avait
enfourché sa moto, gravi sans s'en apercevoir le col de FONTAUBE,
dévalé la pente, au risque de s'abîmer dabns les virages. Il
fredonnait encore : "Elle ne mérite pas un sanglot, ni cette passion
des coquelicots..."
Pouerquoi, les coquelicots ?
Rouges les coquelicots...Rouge, son âme ! Envolée...
Là-même, où ils s'étaient rencontrés, une semaine plus tôt.
Il se trouvait maintenant à des kilomètres de là, non loin de
CRILLON-LA-BRAVE, son village d'enfance...
La SABLIèRE "sa"arrière l'avait accueilli. Personne ne lui avait
rien demandé. Le contre maître, trop heureux de retrouver ce bon
ouvrier, sans doute un peub taciturne, mais tellement vaillant,
tellement dur à la tâche s'était contenté de lui dire : "Tiens, te voilà
PIERRE !...
Dur, dur, comme les coups qu'il continuait d'asséner sur le bloc qui
venait enfin de s'ouvrir. Et le sag, qui battait dans ses tempes...Tout
ce sang qui coulait : "comme un pt'it coquelicot..." songeait-il..."un
tout pt'it coq...
C'est à ce moment précis que les gendarmes viennent à sa rencontre.
Avignon, ce lundi 4 octobre 2010 ! 5 h 01.
..
J'espère que tu ne connais personne dans ce cas...Parler est toujours nécessaire !
Toute autre fin est possible ...
Il te suffit d'inventer une suite plus souriante !...
Les critures c'est vachement plus fatigant que les images-vacances en famille. Avec les escarres- gots mixtes ...
J'amène du mythe au ZIL à tout zazard...
"Peuchère!"
Mais serais-tu Marseillaise ? Tu l'écris même avé l'assent !..
Mais peut-être que ta plume par la suite trouvera un chemin moins torturé...qui sait ?
Je ne suis pas très sûr ,et c'est un euphémisme, que votrE "correction" soit bien pertinentE. J'avais dans un premier "jet" employé le passé simple que vous me distillez comme un venin...
J'ai employé, à dessEin (et ceci n'est pas un mot cochon que je sachE ), le présent de NARRATION...pour rEmEttrE les montrEs à l'heurE, à la fin du récit ...
Maintenant ,si ma prosE vous 'indisposE, je vous serais infiniment reconnaissant , d'aller cracher votrE bilE ailleurs que sur mes pagEs. Quant aux autres fautes que vous rElEvEz, je vais dans les prochains jours, m'assurer de votrE prétenduE CUL.TURE supérieurE...N'ayez aucune craintE, je saurai me montrer discret...
J'ignorE quellE est votre histoirE personnellE, qui sans nul doute est douloureuse, mais il vous reste, certEs du travail à faire sur vous-mêmE, avant de porter des jugements péremptoirEs sur autrui ...
Vous n'ignorez certes pas certainE parabolE de la paillE et de la poutrE...
Je vous saluE ,
MarriE ...Et je vous plains !
Croyez*, Madame, en ma simple empathie...
* Ou non, cela est votre affaire.
Un GROS ...UN GRAS du bide qui file au bistrot, avec ses copains machistes, applaudir l'artiste... Bernard CANTAT !
Pour les fautes, tu sais à présent c'est permis avec le style sms, chacun écrit à sa façon.
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