Ipernity
andante fomenta
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Aveyron, 2012
La Symphonie no 6 en la mineur « tragique » de Gustav Mahler fut composée entre 1903 et 1904.
L'andante que vous écoutez apporte un répit par rapport à l'intensité du reste de l’œuvre. Son thème principal est une phrase introspective de dix mesures en Mi♭ majeur, bien qu'il aborde fréquemment le mode mineur. L'orchestration est plus délicate et réservée dans ce mouvement, ce qui le rend d'autant plus poignant que les trois autres.
Elle imprègne de sa profonde mélancolie ma composition d'un soir d'été, pourtant serein et indemne de tout tracas quotidien...
Gustav Mahler's "Tragic" Symphony No. 6 in A minor was composed in 1903 and 1904
The andante you are listening to provides a respite from the intensity of the rest of the work. Its main theme is an introspective ten-bar phrase in E♭ major, though it frequently touches on the minor mode as well. The orchestration is more delicate and reserved in this movement, making it all the more poignant when compared to the other three.
It permeates with its deep melancholy my composition on a summer evening, yet serene and unharmed by any daily worries....
Une interprétation qui me comble / an interpretation that completely satisfies me :
www.youtube.com/watch?v=rDuVfXEr_pU
Nos campagnes / Our countryside
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La nature asservie par l'homme
Nature enslaved by man
Plus oppressant sur fond noir / More oppressive on a black-ground
www.youtube.com/watch?v=3gLAoUzfSAQ
Zoo look
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Orléans, France : Centre hospitalier régional/Regional Hospital Centre, 2015 [+ PiP]
Jean-Michel Jarre : Zoolook ( robospital )
www.youtube.com/watch?v=-F36bJ57TmM
Toits de Paris
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Ligeti, Lontano, une fresque envoûtante, micro-tonale comme j'ai voulu cette vue des toits de Paris, ville où notre âme évolue de gré en gré, indiciblement et à perte de vue ; et où ivre de repères elle se perd ...
Ligeti Lontano / youtube: www.youtube.com/watch?v=l2OQbA3r78M
Ligeti, Lontano, a bewitching fresco, micro-tonal as I wanted this view of the rooftops of Paris, a city where our soul evolves willingly, indescribably and as far as the eye can see; and where it gets lost drunk with landmarks...
Composed in 1967, this composition for large orchestra depicts the opening and closing of "a window on long submerged dream worlds of childhood" (Ligeti). Dream images appear, briefly coalesce and then dissipate.
From allmusic.com
Utilisé par Stanley Kubrick dans son film "2001" / Used by Stanley Kubrick in his movie "2001"
PiPs only / des PiPs, juste des PiPs
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Tableau noir..., ainsi va la vie, que la mort attend, souvent prématurée par la seule action de l'homme. Nuit blanche, nuit sans lendemain... ?
Blackboard... so goes life whose destiny is death, often prematured by man's action itself. An all-nighter, a night witouth next day?
Heureusement il nous reste l'amour. Merci à vous tous !!
Fortunately, we still have love left. Thanks to you all !!
Best with the music ! / C'est toujours mieux avec la musique !
www.youtube.com/watch?v=g3t6YDnGXAc
21 Sept 2019
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First autumn rose
A Héléna, mon amie dont les printemps et les automnes se ramassent à la pelle ;) et qui reste verte comme un bourgeon naissant.
Et à vous tous mes amis qui m'aidez à garder une éternelle jeunesse....
Rien de plus, une photo sans prétention juste pour marquer le coup.
Equinoxe, les rosiers refleurissent sans préavis, se réjouissant des derniers rayons d'un soleil tardif, tout comme nous le faisons ici en France du centre et du nord, à l'aube d'un automne velléitaire. Ainsi va la vie qui nous réjouit et dont les bienfaits nous accompagnent durant notre court chemin et nous réservent jusqu'au bout de délicats plaisirs...
www.youtube.com/watch?v=Gsz3mrnIBd0
Lincoln-ctr underground
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Simple expérience graphique & musicale, Lincoln Center Parking (NY) + Brand X (oldies)
Simple graphic & musical experience, Lincoln Center Parking (NY) + Brand X (oldies & goldies)
www.youtube.com/watch?v=vo7mYqaMKXA
Phil Collins at his best, & company
In the mood for love
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Auguste Rodin, Le baiser / The kiss, Musée Rodin, Paris
1889, Exposition universelle de Paris / Paris World Fair
(lien improbable entre Rodin et Wong Kar-wai / unlikely link between Rodin and Wong Kar-wai )
Wong Kar-wai, "In the mood for love"
www.youtube.com/watch?v=vBWCphAu8ik
A propos de/ About Wong Karwai :
(FR) Wong Kar-wai (chinois simplifié : 王家卫 ; chinois traditionnel : 王家衞 ; né le 17 juillet 1958) est un cinéaste chinois. Partie prenante de la Nouvelle Vague Hong Kongaise, Wong Kar-wai est connu pour ses films d'art fragmentés évitant les récits linéaires au profit d'une musique atmosphérique et d'une cinématographie vivante destinée à l'expression des émotions intérieures. |Wikipedia.en]
La brochette de ses films intimistes compte parmi les chefs d’œuvre du 7ème art, dont "In the mood for love" consacre l'épure et une intériorité d'une richesse que n'égale que son "Happy Together", une fresque d'une rare perspicacité sur l'homosexualité. D'autres œuvres comme "Chungking Express", "Nos années sauvages", ..., dépeignent le parcours erratique de jeunes femmes et hommes en quête de leur identité, que ponctue l'admirable "Les Anges déchus" où ce parcours ne trouve son issue que dans une forme de sacerdoce voué au crime et à l'abandon d'un soi encombrant dans notre société moderne, toujours teinté d'une humanité qui, finalement, ne peut que l'emporter. Ultime chef d’œuvre, avant qu'il ne décide de se consacrer à d'autres formes artistiques, "2046" (interprété par les meilleurs actrices(teurs) chinois du moment - Maggie Cheung & Tony Leung [ses acteurs fétiches], Gong Li, Zhang Ziyi, Faye Wong, ...) synthétise et conclut magistralement, en 2004, les intrigues qu'il a savamment nouées à travers sa longue fresque en une projection futuriste et désillusionnée, cependant empreinte de ce qu'il nous a toujours enseigné comme notre avenir : l'amour, qui reste le moteur de ce monde, aussi déshumanisé qu'il soit et devienne.
(EN) Wong Kar-wai BBS (simplified Chinese: 王家卫; traditional Chinese: 王家衞; born 17 July 1958) is a Chinese film director. Part of the Hong Kong New Wave movement, Wong Kar-wai is known for fragmented art films that eschew linear narratives for atmospheric music and vivid cinematography to engage emotions. |Wikipedia.en]
The line-up of his intimate films is one of the masterpieces of the 7th art, including "In the mood for love", which consecrates the purity and interiority of a richness equaled only by his "Happy Together", a fresco of rare insight on homosexuality. Other works such as "Chungking Express", "Our Wild Years",..., depict the erratic journey of young women and men in search of their identity, punctuated by the admirable "The Fallen Angels" where this journey finds no end except in a form of priesthood dedicated to crime and the abandonment of a cumbersome self in our modern society, always tinged with a humanity that, in the end, can only win. Ultimate masterpiece, before he decided to devote himself to other artistic forms, "2046" (performed by the best Chinese actors of the moment - Maggie Cheung & Tony Leung [his favorite actors], Gong Li, Zhang Ziyi, Faye Wong,...) synthesizes and masterly concludes, in 2004, the intrigues he cleverly tied through his long fresco into a futuristic and disillusioned projection, nevertheless marked by what he has always taught us being our future: love, which remains the driving force of this world, however dehumanized it may be and becomes.
Klepsydrae
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La Clepsidre / Klepsydra
Hommage à / Tribute to : Wojciech J. Has
(plus de détails en plein écran/more details in full screen)
www.youtube.com/watch?v=21WlqDdM60M&list=PLgzEmzEXhyyS35CLxq0drGZx-6dCWkS5d&index=8
[FR]
"La Clepsidre" (en polonais : Sanatorium pod klepsydrą) est un film polonais de 1973 réalisé par Wojciech Jerzy Has, avec Jan Nowicki, Tadeusz Kondrat, Mieczysław Voit, Halina Kowalska et Gustaw Holoubek. L'histoire suit un jeune homme juif qui rend visite à son père dans un sanatorium mystique où le temps ne se comporte pas normalement. Le film est une adaptation du recueil de contes "Sanatorium Under the Sign of the Hourglass" de Bruno Schulz. Il a remporté le Prix du Jury au Festival de Cannes 1973.
Joseph (Jan Nowicki) voyage dans un monde onirique, prenant un train délabré pour rendre visite à son père mourant, Jacob, dans un sanatorium hors du temps. Lorsqu'il arrive à l'hôpital, il constate que tout l'établissement va s'effondrer et que personne ne semble se préoccuper des patients. Le temps semble se comporter de manière imprévisible, réanimant le passé à travers des caprices artificiels inattendus.
Bien que Joseph soit toujours représenté comme un adulte, son comportement et les personnes qui l'entourent le dépeignent souvent comme un enfant. Il se lie d'amitié avec Rudolf, un jeune garçon qui possède un album de timbres-poste. Les noms des timbres déclenchent chez Joseph une foule d'associations et d'aventures. Parmi les nombreuses occurrences de cette fantasmagorie visuellement puissante, on retrouve Joseph qui revie des épisodes de son enfance avec son père follement excentrique (qui vit avec des oiseaux dans un grenier), qui est arrêté par une mystérieuse unité de soldats pour avoir fait un rêve sévèrement critiqué en haut lieu, qui réfléchit sur une fille dont il a fantasmé dans son enfance et qui réquisitionne un groupe de mannequins de cire historiques. Tout au long de son étrange voyage, un sinistre conducteur de train aveugle réapparaît comme une figure de mort.
Has ajoute également une série de réflexions sur l'Holocauste qui n'étaient pas présentes dans les textes originaux, en lisant la prose de Schulz à travers le prisme de la mort de l'auteur pendant la Seconde Guerre mondiale et de la disparition du monde qu'il a décrit. [Wikipedia].
Le mode de vie de la communauté juive polonaise de l'époque est savamment restitué dans une vérité baroque qui lui donne une réalité empreinte d'un réalisme mystique prégnant et philosophique, qui rend l'ouvrage quasiment hypnotique, tout au moins énigmatique et "viral" pour reprendre la terminologie actuelle, qui nécessite 2 à 3 visions avant d'être complètement appréhendée...
[EN]
The "Hourglass Sanatorium" (Polish: Sanatorium pod klepsydrą) is a 1973 Polish film directed by Wojciech Jerzy Has, starring Jan Nowicki, Tadeusz Kondrat, Mieczysław Voit, Halina Kowalska and Gustaw Holoubek. It is known as The Sandglass in English-speaking countries. The story follows a young Jewish man who visits his father in a mystical sanatorium where time does not behave normally. The film is an adaptation of Bruno Schulz's story collection Sanatorium Under the Sign of the Hourglass. It won the Jury Prize at the 1973 Cannes Film Festival.
Joseph (Jan Nowicki) travels through a dream-like world, taking a dilapidated train to visit his dying father, Jacob, in a sanatorium. When he arrives at the hospital, he finds the entire facility is going to ruin and no one seems to be in charge or even caring for the patients. Time appears to behave in unpredictable ways, reanimating the past in an elaborate artificial caprice.
Though Joseph is always shown as an adult, his behavior and the people around often depict him as a child. He befriends Rudolf, a young boy who owns a postage stamp album. The names of the stamps trigger a wealth of association and adventure in Joseph. Among the many occurrences in this visually potent phantasmagoria include Joseph re-entering childhood episodes with his wildly eccentric father (who lives with birds in an attic), being arrested by a mysterious unit of soldiers for having a dream that was severely criticized in high places, reflecting on a girl he fantasized about in his boyhood and commandeering a group of historic wax mannequins. Throughout his strange journey, an ominous blind train conductor reappears like a death figure.
Has also adds a series of reflections on the Holocaust that were not present in the original texts, reading Schulz's prose through the prism of the author's death during World War II and the demise of the world he described. [Wikipedia]
The way of life of the Polish Jewish community at the time is skillfully reconstructed in a baroque truth which gives it a reality imbued with a powerful mystical and philosophical realism, which makes the work almost hypnotic, at least enigmatic and "viral" to use today's terminology, which requires 2 to 3 visions before it is completely apprehended...
Will you ?
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Will you - Hazel O'Connor
www.youtube.com/watch?v=lCVsPp5rqk8
...
And then we touch,
Much too much,
This moment has been waiting for a long, long time
It makes me shiver
It makes me quiver
This moment I am so unsure
This moment I have waited for
Is it something you've been waiting for?
Waiting for too?
Take off your eyes,
Bare your soul,
Gather me to you,
And make me whole,
Tell me your secret,
Sing me the song,
Sing it to me in the silent tongue
...
(Un de ces solos de sax qui me font fondre...)
(One of those sax solos that make me melt...)
Sur les murs de la ville / On the city walls
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Le long des murs glacés
Qui nous épient
Elle est belle et cassée
Comme sa folie
La poésie, ici
C'est bien fini
"Tout est permis, rien n'est possible", Bernard Lavilliers
Big brother nous regarde désormais...
www.youtube.com/watch?v=X733bWQPtmI
No man's land ...
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... no virus' land
Restez en sécurité, mes amis / Stay safe, my friends.
www.youtube.com/watch?v=QaZ_jjWVn_M
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Art Zoyd , formation musicale française, se définit comme un groupe de musique électronique et travaille surtout sur des musiques de film, de ballet, en alliance avec d'autres formes artistiques. Il compose avant tout, depuis les années 70, une musique expérimentale, axée autant sur l'acoustique, les harmonies et chœurs novateurs, que sur l'illustration sonore d'univers post-modernes à la fois déstructurés et désaxés - en harmonie avec leur temps qui s'évertue à abolir, en dépit du discours ambiant, toute forme résurgente du passé.
Eclat de printemps / Spring glow
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Nous nous sommes endormis dans un monde et nous no…
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Additionnelles PiPs - With additional PiPs...
Nous nous sommes endormis dans un monde et nous nous sommes réveillés dans un autre.
Soudain, Disney n'a plus de magie, Paris n'est plus romantique, New York ne reste plus debout, le mur chinois n'est plus une forteresse, et la Mecque est vidée.
Les câlins et les bisous deviennent soudainement des armes et le fait de ne pas rendre visite aux parents et aux amis devient un acte d'amour.
Soudain, vous avez réalisé que le pouvoir, la beauté, l'argent ne valaient rien et ne pouvaient pas vous procurer l'oxygène pour lequel vous vous battiez.
Le Monde continue sa vie et il est magnifique ; il ne met en cage que les humains. Je pense qu'il nous envoie un message : " Vous n'êtes pas indispensables. L'air, la terre, l'eau et le ciel sans vous vont bien. Et même mieux.
Quand vous reviendrez, rappelez-vous que vous êtes mes invités... Pas mes maîtres."
Anonyme
Merci à notre chère Krisonteme pour la publication de ce salutaire message.
~oOo~
FR: www.youtube.com/watch?v=5V1KGGYKD4w
EN: www.youtube.com/watch?v=WmVLcj-XKnM
My musical choice, part of Mirage album from Klaus Schulze:
www.youtube.com/watch?v=XT6zVDwmzUg&pp=ygUUa2xhdXMgc2NodWx6ZSBtaXJhZ2U%3D
La triade de Bondaroy / Bondaroy's triad
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(sollicite un fond noir/ calls for a blackground )
La commune de Bondaroy, département du Loiret, abrite le Manoir de la Taille (XVIe siècle) assorti d'un bel étang aménagé dont les berges herbues accueillent à nouveaux depuis quelques semaines les riverains en mal de sensations naturelles.
Les canards colvert, quant à eux, s'étonnent de devoir derechef cohabiter avec ces étrangers généralement discrets !
The town of Bondaroy, in the Loiret department, in the centre of France, is home to the Manoir de la Taille (16th century) with a beautifully landscaped pond whose grassy banks have been welcoming local residents in search of natural sensations for the past few weeks.
As for the mallards, they are astonished to have to live again with these generally discreet strangers!
Alter ego
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There's someone in my head but it's not me...
Il y a quelqu'un dans ma tête mais ce n'est pas moi...
www.youtube.com/watch?v=DVQ3-Xe_suY
Pont d'Orléans / Bridge Georges 5, Orléans
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=FR=
Le pont d'Orléans, dénommé pont Royal, puis pont National et, au cours de la Première Guerre mondiale, pont George-V, en l'honneur du roi d'Angleterre George V, est un pont voûté en maçonnerie franchissant la Loire à Orléans dans le département du Loiret en France. Il est situé dans l'axe de la rue Royale et de l'avenue Dauphine (rive gauche).
Le XVIIIe siècle a été en France un âge d'or pour la construction des ponts tant par le nombre de ceux qui furent édifiés que par les progrès réalisés dans l'exécution et la structure de ce type d'ouvrages. Le pont George-V figure parmi ces ouvrages remarquables.
Il fut construit de 1751 à 1763 selon les plans de Jean Hupeau.
Il est composé de neuf arches d’ouvertures inégales décroissant faiblement du centre vers les rives. Les voûtes sont en forme d'anse de panier à cinq centres dont le grand rayon est de 28 mètres environ. L’ouvrage fut bâti en suivant la règle du cinquième, alors admise de tous, et selon laquelle les piles devaient recevoir en épaisseur le cinquième de l'ouverture des arches. Jean-Rodolphe Perronet, qui supervisa la fin des travaux de construction, contesta ultérieurement la valeur de ce principe et soutint que la solidité des ponts serait accrue si l'on réduisait les piles car ainsi on libérait davantage le passage de l'eau. Ce fut une véritable révolution lorsqu'au pont de Neuilly (1768-1774) il fit tomber le rapport de l'épaisseur des piles à l'ouverture des arches à 1/9.
La pente du pont d'Orléans est très faible, moins de un centimètre par mètre.
Le pont dispose aujourd'hui de deux voies de circulation pour automobiles, deux voies pour les tramways et d'un trottoir. À l'occasion du déconfinement en mai 2020, la voie ouest du pont est transformée en piste cyclable bidirectionnelle de manière transitoire.
[Wikipedia.fr]
=EN=
The Orléans Bridge, known as the Royal Bridge, then the National Bridge and, during the First World War, the George V Bridge, in honour of King George V of England, is a vaulted masonry bridge crossing the Loire River at Orléans in the Loiret department of France. It is located on the axis of rue Royale and avenue Dauphine (left bank).
The 18th century was in France a golden age for the construction of bridges in terms of both the number of those built and the progress made in the execution and structure of this type of structure. The George V Bridge is one of these remarkable structures.
It was built from 1751 to 1763 according to the plans of Jean Hupeau.
It is composed of nine arches with unequal openings that taper slightly from the centre to the banks. The vaults are in the shape of a basket handle with five centres and a large radius of about 28 metres. The structure was built according to the rule of the fifth, then accepted by all, and according to which the piers had to receive in thickness the fifth of the opening of the arches. Jean-Rodolphe Perronet, who supervised the completion of the construction work, later disputed the value of this principle and argued that the strength of the bridges would be increased by reducing the thickness of the piers, as this would free up the passage of water. It was a real revolution when at the Neuilly bridge (1768-1774) he reduced the ratio of the thickness of the piers to the opening of the arches to 1/9.
The slope of the Orléans bridge is very slight, less than one centimetre per metre.
The bridge now has two lanes for cars, two tramway tracks and a sidewalk. On the occasion of the deconfinement in May 2020, the west lane of the bridge is transformed into a two-way bicycle path as a transitional measure.
[Wikipedia.fr]
www.youtube.com/watch?v=ata5lWaT1As
5ème saison
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All we need is a 5th season...
Nous aurions bien besoin d'une 5ème saison....
+ PiPs (La rivière Oeuf / River Oeuf ; Loiret, France)
"si on avait besoin d'une cinquième saison ", Harmonium, 1975
www.youtube.com/watch?v=NkNzlf2MczE&t=1030s
Vert, jaune et rouge et bleu
J'ai le soleil dans les yeux
Avant de nous faire ses adieux
J'sais plus lequel de nous deux
Qui va baisser les yeux
Il vient de commencer à descendre
Avant d'se rendre
Il va nous montrer ses couleurs
Comme s'il avait eu peur
Il est allé rougir ailleurs
Gris autour et noir au loin
La forêt le rejoint
Pareil au jeu d'un magicien
La forêt le retient
J'viens de commencer à descendre
Avant de m'rendre
Faut que je m'invente d'autres couleurs
C'est comme si j'avais peur
De me retrouver ailleurs
T'oublier toute une année
Une année pour t'oublier
Amène la folie, perd la raison
Mais j'ai l'goût d'me rattraper
Débouler, débouler, débouler, débouler
De me r'trouver... dans le mélange
Lala la la la lala .....
~oOo~
Si nature.... :
www.youtube.com/watch?v=NkNzlf2MczE&t=32s
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