Etude
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Sakountala: petit bronze de Camille Claudel Etude
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Barbara
L'Amoureuse
Celle qui tendait les bras,
Celle qui aimait si fort,
Mais qui ne le savait pas,
Qu'aimer encore et encore,
Ça vous brûle, ça vous damne,
Celle-là qui, les yeux clairs,
Marchait les bras grands ouverts,
Et qui voulait tout donner,
Et tout prendre,
Celle-là s'en est allée,
Le coeur, d'amour, éclaté,
Les bras fourbus de se tendre,
Et d'attendre,
Fut-elle innocence,
Fut-elle démence,
Qui donc le saura jamais,
Qui donc le saura jamais?
Elle jouait, toute enfant,
Déjà, d'attraper le vent,
Dedans ses bras frêles,
Mais elle ne retenait rien,
Le vent, ça va et ça vient,
Et c'est infidèle,
Elle découvrit la mer
La garce lui fit son oeil vert
En robe d'écume
Elle se jeta dedans
Ses cheveux blonds s'emmêlant
Aux reflets de lune
Puis elle voulut aussi
Voler un morceau de nuit
Qu'elle pensait, éblouie
Tenir tout contre elle
Mais revint le coeur chagrin
L'eau, ça vous glisse des mains
Et c'est infidèle
Fut-elle innocence,
Fut-elle démence,
Qui donc le saura jamais,
Qui donc le saura jamais?
On a crié "c'est assez,
De vouloir t'écarteler,
A donner, à prendre,
A vouloir donner ton sang,
A te brûler tant et tant,
Tu deviendras cendre"
Elle ne répondait rien,
Elle espérait quand soudain,
On se le rappelle,
Comme l'hiver était venu,
Un homme lui est apparu,
Qui marchait vers elle,
Elle lui ouvrit les bras,
Et l'homme s'y réchauffa,
La caressa tant et tant,
Qu'elle en devint belle,
Ce fut, la nuit et le jour,
Le temps des chaudes amours,
Et l'homme restait toujours,
Il était fidèle,
Fut-elle innocence,
Fut-elle démence,
Qui donc le saura jamais,
Qui donc le saura jamais?
Puis l'hiver a disparu,
Les oiseaux sont revenus,
Il a dit "écoute,
J'entends les arbres craquer,
La forêt s'est réveillée,
Je reprends ma route",
Alors, elle tendit le bras,
Ce fut la dernière fois,
Et son couteau se planta,
Dedans l'infidèle,
Puis calme, elle se coucha,
C'est ainsi qu'on la trouva,
Morte, dans le petit jour,
D'avoir trop aimé d'amour,
Fut-elle innocence,
Fut-elle démence,
Qui donc le saura jamais,
Qui donc le saura jamais?
Fut-elle innocence,
Fut-elle démence,
Elle est morte désormais,
Nul ne le saura jamais,
Elle est morte au petit jour,
D'avoir trop aimé d'amour.
Si supieras, que an dentro de mi alma
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Si supieras, que an dentro de mi alma
conservo aqul cario
que tuve para ti...
Quin sabe si supieras
que nunca te he olvidado,
volviendo a tu pasado
te acordars de mi...
Los amigos ya no vienen
ni siquiera a visitarme,
nadie quiere consolarme
en mi afliccin...
Desde el da que te fuiste
siento angustias en mi pecho,
dec, percanta, qu has hecho
de mi pobre corazn?
Si supieras, que an dentro de mi alma,
conservo aqul cario
que tuve para ti...
Quin sabe si supieras
que nunca te he olvidado,
volviendo a tu pasado
te acordars de mi...
Cette lueur dans mon œil raconte des histoires
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Cette lueur dans mon œil est enivrante comme
Les vapeurs de Haschich sorties d’un vieux chillum.
Ton esprit vagabonde sous le doux laudanum
Mon œil dans ton œil est un vendeur d’Opium.
Cette lueur dans mon œil en épingle Vaudou,
Plus surement que tout, à mon amour, te cloue !
Maniant les sortilèges et bravant les tabous
Mon œil dans ton œil est un peu Marabout.
Cette lueur dans mon œil qui te suit à la trace,
Tous les sens aux aguets et la griffe rapace,
Fait patte de velours, rejoue et puis se lasse.
Mon œil dans ton œil est un félin qui chasse.
Cette lueur dans mon œil raconte des histoires
De tigres, de sorciers, de fumées qui égarent.
Mais ton œil impassible, indifférent miroir.
Ton œil dans mon œil ne semble pas les voir.
Cette lueur dans mon œil, dans le plaisir qui dure,
Dessine tes contours entre clair et obscur,
Colore tes soupirs par de sombres murmures
Mon œil dans ton œil est un artiste sûr.
Cette lueur dans mon œil met le feu à tes joues,
Malmène ta peau nue, te serre un peu le cou
Et tatoue sur ton sein un douloureux bijou
Mon œil dans ton œil se comporte en voyou.
Cette lueur dans mon œil que plus rien ne retient
Poignarde brusquement ton âme jusque tes reins.
Un cri ,encore un cri et ton souffle s’éteint.
Mon œil dans ton œil est un bel assassin.
Cette lueur dans mon œil retourne à sa nuit noire,
Ça n’était qu’une lueur dans ton œil sans mémoire.
Une lueur muette et que l’on voit sans voir
Mon œil dans ton œil n’était rien qu’un regard.
Toi qu'avais les yeux arc-en-ciel
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Découvrez !
A force de noyer les peines
Qui vous mettaient le cœur en carême
A trop pouvoir, à trop donner
A trop de tout, à trop aimer
Le temps traîne dans son sillage
Les requiem et les visages
Tu dois planer
Ne plus voir les yeux qui fascinent
C'est pas un truc qu'on imagine
On ne comprend pas quand on est môme
On est tout seul dans son royaume
Avec les larmes, avec le temps
On fait la part de l'important
Tu dois planer
Tu dois planer au paradis
Si c'est aussi joli qu'l'on dit
Tu dois briller dans le soleil
Toi qu'avais le coeur arc-en-ciel
Tu dois planer
Tu dois planer
On croit que tous les jours sont bleus
On vit la tendresse comme un jeu
C'est seulement quand il est midi
Qu'on s'aperçoit qu'on a grandi
Toi qu'avais le cœur cathédrale
Tu dois briller dans les étoiles
Tu dois planer
Tu dois planer au paradis
Si c'est aussi joli qu'l'on dit
Tant pis si c'est un peu idiot
Mais pour le dire on a qu'les mots
Je voudrais pour que tu t'souviennes
Te dire une dernière fois que j't'aime
Tu dois planer
Tu dois planer au paradis
Si c'est aussi joli qu'l'on dit
Tu dois briller dans le soleil
Toi qu'avais le cœur arc-en-ciel
Tu dois planer
Tu dois planer....
Derrière les apparences
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Si la photo est bonne,
Juste en deuxième colonne,
Y a le voyou du jour,
Qui a une petite gueule d'amour,
Dans la rubrique du vice,
Y a l'assassin de service,
Qui n'a pas du tout l'air méchant,
Qui a plutôt l'œil intéressant,
Coupable ou non coupable,
S'il doit se mettre à table,
Que j'aimerais qu'il vienne,
Pour se mettre à la mienne,
Si la photo est bonne,
Il est bien de sa personne,
N'a pas plus l'air d'un assassin,
Que le fils de mon voisin,
Ce gibier de potence,
Pas sorti de l'enfance,
Va faire sa dernière prière,
Pour avoir trop aimé sa mère,
Bref, on va prendre un malheureux,
Qui avait le cœur trop généreux,
Moi qui suis femme de président,
J'en ai pas moins de cœur pour autant,
De voir tomber des têtes,
A la fin, ça m'embête,
Et mon mari, le président,
Qui m'aime bien, qui m'aime tant,
Quand j'ai le cœur qui flanche,
Tripote la balance,
Si la photo est bonne,
Qu'on m'amène ce jeune homme,
Ce fils de rien, ce tout et pire,
Cette crapule au doux sourire,
Ce grand gars au cœur tendre,
Qu'on n'a pas su comprendre,
Je sens que je vais le conduire,
Sur le chemin du repentir,
Pour l'avenir de la France,
Contre la délinquance,
C'est bon, je fais le premier geste,
Que la justice fasse le reste,
Surtout qu'il soit fidèle,
Surtout, je vous rappelle,
A l'image de son portrait,
Qu'ils se ressemblent trait pour trait,
C'est mon ultime condition,
Pour lui accorder mon pardon,
Qu'on m'amène ce jeune homme,
Si la photo est bonne,
Si la photo est bonne,
Si la photo est bonne.
Sous le vent
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Et si tu crois que j'ai eu peur
C'est faux
Je donne des vacances à mon coeur
Un peu de repos
Et si tu crois que j'ai eu tort
Attends
Respire un peu le souffle d'or
Qui me pousse en avant
Et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)
Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers
Et si tu crois que je t'oublie
Écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit
Ferme les yeux
Et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)
Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
(j'ai glissé sous le vent)
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Sous le vent
Sous le vent
Regard
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Découvrez !
Une guêpe s'envole, se pose, butine
Et l'image cogne à ma rétine
Mais déjà mon regard est loin
Je n' sais plus voir le quotidien
J'aimerais me réveiller sans mémoire
Redécouvrir c'que j'peux plus voir
J'ai écrit une petite annonce
Un mois déjà, pas de réponse
Ref
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premieres fois
Je veux revoir ma premiere fleur,
L'accompagner, jusqu'à c'qu'elle meure
Et découvrir une flaque d'eau
Comme une porte pour descendre en haut
J'irais dimanche à Orly Sud voir le métal s'prendre pour une plume
Ouvrant les doigts, joignant mes pouces
J'verrais mon ombre
Lui faire la course
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premieres fois
Cent ans lui sont,
Comme prise au piège
Je devinerais mes premières neiges
Battant des mains comme un enfant
J'm'entendrais rire
"Eh c'est tout blanc"
Je veux poursuivre des nuages noirs
Au grand galop
Sur les trottoirs
Sous la tourmente
Au mur du vent
Les parapluies deviennent vivants
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux bruler encore une fois
Au brasier des premières fois
Mais j'ai croisé sur mon chemin
De grands yeux bleus
De blanches mains
Ces menottes ont pris mes poignés
Et ce sont ces yeux qui m'ont soignés
Des parapluies se sont ouverts
Un grand avion a fendu l'air
A déversé ces doux flocons
Tout été blanc, tout...non
A nos pieds, brillait quelquechose
Et mes yeux ont reconnus la rose
J'ai brulé tout contre toi
Au brasier d'une première fois
Tu n’as pas mesuré, tous nos pouvoirs de fée
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Oui mais tu l’ignores, Une fille en rut dehors
C’est dangereux pour tes yeux et ton petit corps
Et si tu crois savoir, Que ces choses là sont rares
Tu te fais berner tromper tu te fais avoir
Parce que nous on est calées sur la lune
Comme la marée et les loups-garous
Si dehors tout à l’air si doux
Méfions-nous de l’eau qui dort
Tu n’as pas mesuré, tous nos pouvoirs de fée
Pour te faire croire à l’amour de toujours, On t’as ensorcelé
Tu n’savais plus quoi faire, des jupons de ta mère,
Ils étaient rêches on est d’mèche comme des vieilles sorcières
Refrain (x2)
Alors vient pas m’faire croire, qu’t’es le roi d’la terre ou,
Qu’t’es content d’me voir parce que mon petit père
Ce soir c’est moi qui gère
D’ailleurs enlève ta main et passe ton chemin parce que
Moi, je suis callée sur la lune...
Comme la marée et les loups-garous
Si dehors tout à l’air si doux
Méfie-toi de l’eau qui dort (x2 + refrain x2)
J’voudrais qu’on réfléchisse avant de m’démonter,…
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Au départ de l’action, on n’vivait pas comme ça, là je dis
Serait-ce la religion qui nous a cloué là, là je dis
Faudrait p’t’être essayer de revoir nos copies
Ne plus se mélanger ailleurs que dans un lit
Mais toi tu crois qu’la vie, c’est comme une salle d’attente, elle me dit,
Mais toi tu crois qu’une fille c’est fait pour faire la plante, elle me dit,
Est-ce que tu penses vraiment qu’on vient d’la même planète
Est-ce que tu penses vraiment ce que tu dis dans ta tête
Personne ne connaît personne
Tout le monde est loin de tout le monde
Personne ne choisit personne
Tout le monde a faim de tout le monde
J’voudrais qu’on réfléchisse avant de m’démonter, là je dis
J’crois pas qu’les hommes soient faits pour l’exclusivité, là je dis
Cette histoire de mariage vous a bien arrangées
On vous en a fait voir, le Ciel vous a vengées
Faudrait faire attention, fais bien gaffe où tu vas, elle me dit,
Changer de position juste avant les dégâts, elle me dit,
T’es peut-être un connard, mais moi j’te trouve gentil
J’aimerai bien te voir ailleurs que dans un lit
Personne ne connaît personne
Tout le monde est loin de tout le monde
Personne ne choisit personne
Tout le monde a faim de tout le monde
Je n’ai pas protesté
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« Quand ils sont venus chercher les communistes,
je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs,
je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester. »
Martin Niemöller (1892-1984
Joie de recevrir Ou plaisir d'offroir
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Offrir du plaisir
Joie de recevoir
La joie du plaisir
C'est offrir, recevoir
Joie de recevrir
Ou plaisir d'offroir
C'est facile à dire
Mais à faire, faut pas croire !
Désir retenir
Joie de te revoir
Exquise devise
À garder en mémoire
Car quoi qu'on en dise
À l'heure de s'émouvoir
La joie du plaisir
C'est offrir, recevoir
{Refrain:}
Pour tous avoir plaisir
Faut tout savoir plaisirs
Pour tout désir assouvir
Faut tous avoir plaisir à s'ouvrir
Chanson à offrir
Facile à ouvrir
À vous de choisir
Ce que vous voulez voir
S'il fallait le dire
Ça serait en soupirs
Faut tard finir le soir
Pour tout savoir plaisir
{au Refrain}
Le plaisir
{au Refrain}
La la la...
Si leurs larmes coulent sous le joug Elles restent…
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Elles sont faites pour les choses douces
La soie et le velours
Plonger leur corps dans la mousse
Les enfants, les fleurs et l’amour
Elles ne savent pas faire la guerre
Pourtant elles vivent en enfer
Et si Dieu est notre Père
Qu’il écoute leurs prières
Ils pourraient
Veiller sur la moitié du ciel
Celle qui nous ramène à l’essentiel
Dans ce monde, tout est égal
Mais un peu moins, c’est fatal
Pour les femmes
Pour les femmes
Si leurs larmes coulent sous le joug
Elles restent debout
Si parfois, on les bafoue
Leur sort lié à des fous
Elles ne savent pas faire la haine
Pourtant elles vivent dans la peine
Et si Dieu est notre Père
Qu’il écoute leurs prières
Il pourrait
Veiller sur la moitié du ciel
Celle qui nous ramène à l’essentiel
Dans ce monde, tout est égal
Mais un peu moins, c’est fatal
Pour les femmes
Pour les femmes
Veiller sur la moitié du ciel
Celle qui nous ramène à l’essentiel
Dans ce monde, tout est égal
Mais un peu moins, c’est fatal
Pour les femmes
Pour les femmes
Je t’aime au gré du vent, au berceau de nos nuits
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Mes yeux sont des fleurs
Cueillons nous du regard
Semons notre impudeur
Dans un lit de hasard
Ma bouche est un pré ou poussent des mots d’amour
Des désires colorés, des envies de toujours
Viens fouler l’herbe tendre, de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords à nos accords
Ma peau est un champs, caressé par la vie
Je t’aime au gré du vent, au berceau de nos nuits
Mon coeur est une terre, un horizon fertile,
Mais loin de ta lumière, il jaunit, inutile
Vient fouler l’herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
Viens, prends tout l’espace
Je te laisse le champs libre
Tu hésites, tu m’agaces
Je te sens dans mes fibres
Trouves enfin l’audace
D’être celui qui vibre
Profond ou en surface
Profond ou en surface
Tu es mon équilibre
Viens fouler l’herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
J'avais oublié où avais-je les yeux
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<a
Découvrez !
Tiens un oiseau qui chante tiens un enfant qui joue
Une fleur qui s'invente un printemps pour deux sous
Tiens un soleil qui brille d'où sort-il celui-là
Des gens qui me sourient ça existe tout ça
[Refrain] :
J'avais oublié que les roses sont roses
J'avais oublié que les bleuets sont bleus
J'avais oublié tant de belles choses
J'avais oublié où avais-je les yeux
Une douce lumière s'enroule autour de moi
Mille mains familières me fêtent comme un roi
J'ai retrouvé ma vieille vie, jolis pulls délavés
A l'instant je m'habille et je repars au passé
[Refrain]
Je me trouvais dans un vieux livre que j'ai relu cent fois
Un monde où il fait bon vivre quitte à vivre sans toi
Et toi qui n'est plus qu'une ombre dans le ciel bien trop bleu
Enfin je suis du nombre des imbéciles heureux
Mon illusion tranquille
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Viens dans mon île, mon illusion tranquille
Dans le jardin, j'ai tué les nains
En douce en coulisse,un chagrin se glisse
Sans toi dans ma maison, il pleut dans ma chanson
Viens dans mes songes, je songes pas en mensonges
je voudrais vieillir, auprès de ton sourire
J'ai besoin d'une étoile, de couleur dans mes voiles
Si tu peux hissez haut , je t'emmène en bateau
Viens dans ma bulle, ma bulle de champagne
J'avoue je me saoule,et roule loin des foules
j'imagine une copine, qui aurait mon code pin
Mon mat de cocagne,pour toi, si tu gagnes.
Viens dans mon île, aux vinyles rayés...
Ce qui est fragile, se casse en premier
Pendant tes absences, la vie n'a plus d'sens
Il pleut dans ma chanson, sans toi dans ma maison
Loin Ce jour-là, il n'est plus ni gai ni triste, l…
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Loin
Dans mon vertige
Je suis loin
Juste au coin du vide
Et qui suis-je
Quand rien ne m'oblige
Loin
Loin Ta couleur, toujours
Désert splendide C'est l'amour, mas l'amour c'est la douleur
Je n' vois rien Cherche encore, encore et encore
Et le noir me guide Et même ta souffrance, c'est ta chance peut-être
Tour les mots Dans ton ventre, dans ta tête
Meurent dans mon piano Elle vit ta musique, et un jour magique
Loin C'est l'orage, comme du fond d'un paysage
Dans ta tête et dans ton ventre, elle entre
Loin La musique, les mots sont des animaux sauvages
Et je cherche
Le ciel et l'inverse
Loin Loin mais va plus loin
Dans mon vertige Et ta force, elle est là sous ton écorce
Mais prodige Sois rebelle, ta défaite est belle
Chose unique au monde Ecris comme tu cries, écris et déchire
Une rose Recommence, recommence
Qui dure une seconde Un beau jour, tout sortira du silence
Loin Le courage, et au bout du mot courage: la rage
Mais unique au monde, le jour où la rose explose
Loin Ce jour-là, il n'est plus ni gai ni triste, l'artiste
Il est lui, sous la pluie, dans tous les soleils
Dans tous les soleils oui, au-dessus du beau, là haut
Il a retrouvé la flamme, son âme est comme une lame
Loin Sa fureur de vivre, c'est pas dans les livres c'est dans lui
Sa grand-voile dans les étoiles, il s’envole, il s'envole
Même saoulé de coups, de tout
Même s'il doit souffrir encore
Loin Tout s'envole, son coeur, son corps
Même si c'est jamais fini
Rien qu' pour qu'on lui dise je t'aime
Même s'il doit mourir, oui même
Il poursuit son aventure Ses chagrins, ses déchirures
Il est loin
Loin Loin
Loin Loin
Longtemps après les terres Après les plaines morte…
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Oï tzigané
Est-ce que vous connaissez l'histoire
De la jeune fille
La jeune fille aux yeux noirs
Qui, le vent à la main
Descendait de l'Oural
La terre tremblait sous son cheval
Le feu dans ses yeux
Le ciel et le soleil
Brûlaient dans ses yeux noirs
Ses yeux noirs...
Otchi tchiornyé
Otchi strassnyié
Otchi jgoutchié
I pries krasnié
Kak lioubliou ya vas
kak baîouss ya vas
Znaîti ouvidiel
Vniedobryi tchas
Oh jeune fille aux yeux noirs
Nous, les libres oiseaux
Irons loin vers la mer
Longtemps après les terres
Après les plaines mortes
Sur l'océan brûlant
Nous brûlerons aussi
Au fond de tes yeux noirs
Tes yeux noirs...
Otchi tchiornyé
Otchi strassnyié
Otchi jgoutchié
I pries krasnié
Kak lioubliou ya vas
kak baîouss ya vas
Znaîti ouvidiel
Vniedobryi tchas
Ô vos Yeux noirs
Yeux passionnés
Yeux brûlants et superbes
Comme je vous aime
Comme je vous crains
C'est que je vous vis
A la mauvaise heure
J'ai un à un fouillé tous nos secrets
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j'ai encore perdu ton amour tu sais
J'peux pas m'souvenir de ce que j'en ai fait
Je l'ai pourtant rangé comme il fallait
C'est pas croyable comme tout disparaît
Mais j'ai trouvé dans mon carnet à spirale
Tout mon bonheur en lettres capitales
A l'encre bleue aux vertus sympathiques
Sous des collages à la gomme arabique
J'ai un à un fouillé tous nos secrets
J'n'ai rien trouvé dans le peu qu'il restait
Sous quelques brouilles au fond sans intérêt
Des boules de gomme et des matins pas frais
Mais j'ai gardé dans mon carnet à spirale
Tout mon bonheur en lettres capitales
A l'encre bleue aux vertus sympathiques
Sous des collages à la gomme arabique
J'ai encore perdu ton amour c'est vrai
Mais après tout personne n'est parfait
Si tu n'en as plus d'autres, c'est bien fait
Tant pis pour moi, j'étais un peu distrait
Je garderai dans mon carnet à spirale
Tout mon bonheur en lettres capitales
A l'encre bleue aux vertus sympathiques
Sous des collages à la gomme arabique
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