Le ménage DxO 1080
Eine kleine Fliegenparade aus der Natur :)) A lit…
une dame merlette qui aime les fraises
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art on the promenade pavement in Malaga-Benalmàden…
hier soir ...
Das Schneckenhaus hat seinen Mieter verloren :))…
Mousterlin DxO 1080
Die Wald-Veilchen (Viola reichenbachiana) breiten…
Cherimoya
C'est le plein boum DxO 1080
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s'émerveiller,
You & Me
Diesmal saß der Stieglitz (Carduelis carduelis) ob…
La nuit tombe, le soleil se couche !
Das schöne Grün der Lärchentriebe :)) The beautif…
hier soir,,,
MALAGA (Andalusia -Spain) - Arena de toros
Der Grüne Scheinbockkäfer (Oedemera nobilis) hat s…
l'ami du matin
vu autrement histoires de ciel,,
Ce matin..... 1080
Das schöne Blau der Traubenhyazinthen (Muscari) :…
HFF to all!
Pause derrière une fenêtre
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Discrète transaction
Retrouvailles
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Me in the PLAZA de TOROS in Ronda/Andalusia
Meinen guten Freund Zeus gibt es nicht mehr :)) M…
Confeitaria nacional
a New York trilogy
Das Leuchten des Löwenzahns (Taraxacum officinale)…
Sculpture style Hellfest.
Une marguerite dans le vent 1080
Die fliegende Ameise ist gelandet :)) The flying…
L'œil amusé
Rapace.
An der Spitze des Schachtelhalmes (Equisetum) ange…
Il est temps de rentrer DxO 1080
Marché couvert de Fort-Dauphin
1/250 • f/11.0 • 37.4 mm • ISO 800 •
FUJIFILM X-Pro2
XF18-55mmF2.8-4 R LM OIS
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Retour vers la passé
Retour dans le passé
Beynes (France) - Ma voiture s’est transformée en une machine à remonter le temps. Sur un coup de tête, je suis retourné dans le village où j’ai vécu de l’âge de 6 à 19 ans. Aujourd’hui, cette commune du département des Yvelines compte environ 7.500 habitants. Quand j’y suis arrivé en 1962, on ne comptait guère plus de 2.500 âmes. Ce gros bourg était majoritairement agricole.
Mais c’est à Beynes que depuis 1956, la plus grande station française de stockage souterrain de gaz est en activité.
Mon père avait été muté ici comme contremaître principal. A l'époque, l’usine était discrètement implantée au fond d’une vallée. Ce qui n’est plus la cas aujourd’hui. La surface de la station de compression a été multipliée par cinq par rapport à l’époque où mon père y travaillait. Les magnifiques maisons en pierres de soissons dans lesquelles une partie des salariés étaient logés, ont été rasées pour permettre l’extension du site industriel. Je me demande où ont bien pu passer les restes de mon regretté chat que j’avais enterré dans le jardin ?
Hormis la station de compression qu’on ne peut pas rater quand on passe sur la route qui mène à Monfort-L’Amaury ou Rambouillet, rien de laisse penser qu’aujourd’hui, les sous-sols de la région sont en mesure de stocker 475 millions de m3 de gaz naturel. Une énergie destinée à alimenter toute la région parisienne et la capitale par un système de pipe-lines.
Cette photo représente l’ancienne ferme des parents de mon copain d’école, Dominique Tévenon. Elle a été rachetée par la municipalité il y a quelques années. Bon, les élus ont fait construire devant l’entrée un bâtiment neuf à l’architecture indéterminée, qui fait office de salle de réunion. heureusement qu'il faut être devant la ferme pour la voir. J’espère cependant que les élus ont été battus au scrutin municipal suivant.
Sur la gauche de la photo se trouve (hors-champ), l’usine qui pilote le stockage de gaz. J’ai préféré ne conserver dans mon cadre qu’un bout de souvenir de mon enfance avec la Maulne, cette petite rivière dans laquelle je me baignais l’été, malgré l’interdiction des adultes.
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Beynes (France) - Ma voiture s’est transformée en une machine à remonter le temps. Sur un coup de tête, je suis retourné dans le village où j’ai vécu de l’âge de 6 à 19 ans. Aujourd’hui, cette commune du département des Yvelines compte environ 7.500 habitants. Quand j’y suis arrivé en 1962, on ne comptait guère plus de 2.500 âmes. Ce gros bourg était majoritairement agricole.
Mais c’est à Beynes que depuis 1956, la plus grande station française de stockage souterrain de gaz est en activité.
Mon père avait été muté ici comme contremaître principal. A l'époque, l’usine était discrètement implantée au fond d’une vallée. Ce qui n’est plus la cas aujourd’hui. La surface de la station de compression a été multipliée par cinq par rapport à l’époque où mon père y travaillait. Les magnifiques maisons en pierres de soissons dans lesquelles une partie des salariés étaient logés, ont été rasées pour permettre l’extension du site industriel. Je me demande où ont bien pu passer les restes de mon regretté chat que j’avais enterré dans le jardin ?
Hormis la station de compression qu’on ne peut pas rater quand on passe sur la route qui mène à Monfort-L’Amaury ou Rambouillet, rien de laisse penser qu’aujourd’hui, les sous-sols de la région sont en mesure de stocker 475 millions de m3 de gaz naturel. Une énergie destinée à alimenter toute la région parisienne et la capitale par un système de pipe-lines.
Cette photo représente l’ancienne ferme des parents de mon copain d’école, Dominique Tévenon. Elle a été rachetée par la municipalité il y a quelques années. Bon, les élus ont fait construire devant l’entrée un bâtiment neuf à l’architecture indéterminée, qui fait office de salle de réunion. heureusement qu'il faut être devant la ferme pour la voir. J’espère cependant que les élus ont été battus au scrutin municipal suivant.
Sur la gauche de la photo se trouve (hors-champ), l’usine qui pilote le stockage de gaz. J’ai préféré ne conserver dans mon cadre qu’un bout de souvenir de mon enfance avec la Maulne, cette petite rivière dans laquelle je me baignais l’été, malgré l’interdiction des adultes.
Jeanne chevillard, Siebbi, Holger Hagen, Ulrich John and 32 other people have particularly liked this photo
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Tu as bien fait de ne pas inclure l'usine à gaz !
Bon weekend. Amitiés
Merci et bonne soirée
Jean-luc Drouin has replied to Julien Rappaport clubCette méthode repose sur l’utilisation de puits d’exploitation. En période de stockage, ils sont chargés d’injecter le gaz, qui prend la place d’une partie de l’eau, chassée en périphérie du réservoir. À l’inverse, en cas de déstockage, ils soutirent le gaz naturel et l’eau reprend sa place.
Julien Rappaport club has replied to Jean-luc DrouinMerci Jean-Luc et faut m'excuser d'avoir tardé à lire ton message mais en ce moment je monte sur la capitale presque tous les W.E. , en y ajoutant des jours en fonction de mes rendez-vous .
Admired in: www.ipernity.com/group/tolerance
It's unusual to see a photo from you with no people in it Jean-luc. Very well composed and taken sir!
I like the story behind the shot too.
Jean-luc Drouin has replied to Keith Burton clubenjoy your country:)
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